Un conte fantastique pour partir à la découverte de la XVIIe siècle, William Davisson, un botaniste écossais, devenu médecin particulier du roi polonais Jean II Casimir, suit le monarque dans un long voyage entre la Lituanie et l’Ukraine. Esprit scientifique et fin observateur, il étudie les rudesses climatiques des confins polonais et les coutumes locales. Un jour, lors d’une halte, les soldats du roi capturent deux enfants. Les deux petits ont un physique inhabituel outre leur aspect chétif, leur peau et leurs cheveux sont légèrement verts…Olga Tokarczuk s’interroge sur l’Europe par la voix de son narrateur, un étranger pris dans la tourmente de l’Histoire. Perçu comme un danger potentiel, l’autre fait peur. Mais que savons-nous de nos voisins, ceux surtout qui vivent en marge du monde qui nous est proche ? La notion du centre et de la périphérie est-elle la même pour tous ? Qu’en est-il aujourd’hui ? Les observations de William Davisson, l’Européen échoué dans une lointaine Pologne déchirée par les guerres, semblent toujours d’ réflexion subtile et non sans humour autour de la perception de l’autre et du rejet de l’inconnu !EXTRAITPendant que Sa Majesté terminait son petit déjeuner et attendait de boire ses tisanes, espérant améliorer ainsi son humeur, je m’étais éclipsé pour aller voir lesdits enfants. J’ordonnai d’abord de leur laver le visage, ensuite seulement je pus les détailler de plus près, prenant toutefois garde de ne pas me faire mordre. À en juger d’après leur taille, ils devaient avoir entre quatre et six ans, mais leur dentition me fit penser qu’ils étaient plus âgés, malgré leur aspect si frêle. La fillette était plus grande et plus robuste que le garçonnet qui, menu et malingre, semblait pourtant bien vif. Mais ce qui me saisit le plus chez eux, c’était leur peau. Elle avait une teinte que je n’avais encore jamais vue – entre le vert céladon et le vert olive. Les touffes de cheveux emmêlés qui leur retombaient sur le visage étaient pourtant claires, mais comme recouvertes d’un dépôt verdâtre, semblable au lichen qui s’empare des pierres et des cailloux. Selon le jeune Opaliński, les Enfants verts – comme nous les avions appelés –, étaient sans doute des victimes de la guerre, nourris dans la forêt par la nature, comme cela se produit parfois, preuve en est l’histoire de Romulus et Remus, les fondateurs de Rome. Le champ d’action de la nature est immense, bien plus grand que celui, somme toute bien modeste, de l’ QU'EN PENSE LA CRITIQUEUne excellente nouvelle aux allures de conte fantastique, qui n'est pas sans rappeler l'univers de l'Estonien Andrus Kivirähk. - Librairie Le Bateau livreUn texte étonnant qui flrite avec le fantastique, et interroge l'altérité… Un texte qui propose une reflexion sur l'Europe, la manière dont elle se dessine et sa capicité à se perpétuer. - Nikola Delescluse, Emission Paludes, Radio CampusÀ PROPOS DES AUTEURSRomancière et essayiste née en 1962 et installée à Wroclaw, Olga Tokarczuk est l’auteure la plus récompensée et admirée de sa génération, lauréate de nombreux prix dont le Prix Niké équivalent du Goncourt – pour Les Pérégrins, appréciée autant par la critique que par le Carlier est spécialiste de littérature polonaise, enseignante de langue et de civilisation polonaise à l’université Jules-Verne à Amiens, conseillère littéraire aux éditions Actes Sud. Depuis sa rencontre, déterminante, avec Hanna Krall, elle a traduit pratiquement tous ses livres. En 2009, elle a reçu le Prix Amphi pour la traduction de Gottland de Mariusz Szczygieł Actes Sud.
AprèsMaman a tort sur France Télévisions, c’est M6 qui tourne actuellement quatre épisodes de 52 minutes tirés de Un avion sans elle. La
23 décembre 1980. Un crash d'avion dans le Jura. Une petite libellule de 3 mois tombe du ciel, orpheline. Deux familles que tout oppose se la disputent.... Lire la suite 8,50 € Neuf Poche En stock 8,50 € Ebook Téléchargement immédiat 14,99 € Téléchargement immédiat 20,95 € Grand format Expédié sous 3 à 6 jours 22,50 € Livre audio Expédié sous 3 à 6 jours 23,40 € En stock en ligne Livré chez vous à partir du 1 septembre 23 décembre 1980. Un crash d'avion dans le Jura. Une petite libellule de 3 mois tombe du ciel, orpheline. Deux familles que tout oppose se la disputent. La justice tranche elle sera Emilie Vitral. Aujourd'hui, elle a 18 ans, la vie devant elle mais des questions plein la tête. Qui est-elle vraiment ? Dix-huit ans que Crédule Grand-Duc, détective privé, se pose la même question. Alors qu'il s'apprête à abandonner, la vérité surgit devant ses yeux, qu'il referme aussitôt, assassiné. Il ne reste plus qu'un vieux carnet de notes, des souvenirs, et Marc, son frère, pour découvrir la vérité... Cet ouvrage a reçu le prix Maison de la presse. Date de parution 07/03/2013 Editeur Collection ISBN 978-2-266-23389-7 EAN 9782266233897 Format Poche Présentation Broché Nb. de pages 570 pages Poids Kg Dimensions 11,1 cm × 17,9 cm × 2,6 cm Biographie de Michel Bussi Michel Bussi, né en 1965, est professeur de géographie à l'université de Rouen. Il est l'auteur des romans policiers utilisant comme cadre le patrimoine régional normand. Père de trois enfants, il vit à Darnétal 76. Il a notamment publié aux Presses de la Cité Nymphéas noirs, polar français le plus primé en 2011 Prix Polar méditerranéen, Prix Polar Michel Lebrun de la 25e Heure du Livre du Mans, Prix des lecteurs du Festival Polar de Cognac, Grand Prix Gustave Flauvert, Prix Goutte de Sang d'encre de Vienne.
Découvrezsur avion sans elle - 2 volumes par Michel Bussi - Collection 16 - Librairie Decitre Apparemment, javascript est désactivé sur votre navigateur. Javascript doit être activé dans votre navigateur pour utiliser toutes les fonctionnalités de ce site.
RESUME Lyse-Rose ou Emilie ? Quelle est l'identité de l'unique rescapé d'un crash d'avion, un bébé de 3 mois ? Deux familles, l'une riche, l'autre pas, se déchirent pour que leur soit reconnue la paternité de celle que les média ont baptisée Libellule. Dix-huit ans plus tard, un détective privé prétend avoir découvert le fin mot de l'histoire, avant d'être assassiné, laissant derrière lui un cahier contenant tous les détails de son enquête. Du quartier parisien de la Butte-aux-Cailles jusqu'à Dieppe, du Val-de-Marne aux pentes jurassiennes du mont Terrible, le lecteur est entraîné dans une course haletante jusqu'à ce que les masquent tombent...... MON AVIS Comme d'habitude, dans un livre de Bussi, on rentre directement dans l'histoire sans devoir se farcir 50 pages qui ne vont servir a rien si je puis dire. C'est le 4e que je lis de cet auteur et je dois dire que je ne m'en lasse pas, car j'adore sa plume, sa façon de nous emmener ou il veut, de nous donner un ou deux détails sans en dire trop histoire de nous faire réfléchir un peu. Sa façon de nous faire triturer les méninges et ensuite, on peut dire qu'une chose encore!! Ce roman est séparé en partie d'un coté, on a marc le frère d'Emilie qui nous raconte son point de vue et de l'autre le journal de Grand Duc, le détective qui a été assassiné. Cette façon de faire est cher a Bussi qui avait pratiqué la même chose avec Nymphéa noir. Je dois dire que cependant je n'ai pas été aussi surprise de la fin que dans ses autres livres. Est ce que c'est parce que je commence a être habitué a sa façon de faire? Ne croyez pas que j'avais tout deviné jusqu'à la moindre ligne, bien sur que non. C'est juste que je me doutais de certains trucs qui paraissaient pour ma part bien évident si on prend le temps de réfléchir trois secondes. Cela n'enlève pas du tout a la qualité de l'ouvrage qui reste un très bon cru et que j'ai adoré; lu en même pas 4 jours tellement sa plume est accrocheur. Bussi a une façon comme je l'ai déjà dis dans une autre chronique, de nous emmener la ou il veut, d'appuyer sur les bons boutons au bon moment et de faire en sorte que ses personnages nous attirent dans un bon sens ou pas d'ailleurs. Après pas d'autres choix que d'en redemander! C'est un auteur que j'adorerais rencontré tiens pour lui demander comment il fait, pour nous subjuguer jusqu'au bout et de rester sur ses fesses quand on tourne la dernière page? Celui ci de déroge pas a la règle et on reste la bouche ouverte, sur les dernières 50 pages. Un bon cru que je ne peux que recommander.
Dixhuit ans plus tard, un détective privé prétend avoir découvert le fin mot de l’affaire, avant d’être assassiné, laissant derrière lui un cahier contenant tous les détails de son enquête. Du quartier parisien de la Butte-aux-Cailles jusqu’à Dieppe, du Val-de-Marne aux pentes jurassiennes du mont Terrible, la jeune femme va dénouer les fils de sa propre histoire
Michel Bussi L’histoire 23 décembre 1980, un avion venant d’Istanbul, se crashe dans le Jura. 169 passagers, une seule survivante un bébé de 3 mois. Impossible de l’identifier. Deux familles se la disputent. La justice doit ans plus tard, le bébé a grandi et va fêter son anniversaire. Son identité est au cœur de ses interrogations. Qui est-elle ? Emilie Vitral ou Lyse-Rose de Carville ?Peut-être que Crédule Grand Duc, détective privé, pourra y répondre. Ca fait 18 ans qu’il enquête jusqu’au jour où la vérité éclate enfin…comme sa faudra toute l’intelligence de Marc, le frère d’Emilie, pour démêler tout avis Ce livre est mon troisième essai dans l’univers Bussi, après Le temps est assassin et Maman a premier m’avait enchanté, mais pas trop le second. Je ne savais donc pas trop à quoi m’attendre, les avis d’autres lecteurs étant commencé ce livre vendredi matin et je viens de le finir. Je crois que ça donne une idée de mon avis. Ce livre est une débute avec le crash spectaculaire d’un avion en partance de Turquie, qui va finir sa course dans le jura. 169 passagers, un seul survivant, un petit bébé de 3 mois. Nous sommes en 1980. Les possibilités de pouvoir découvrir son identité sont limités par rapport à notre époque actuelle. Il n’existait pas les tests deux familles vont se disputer le bébé, chacune clamant que ce bébé est leur petite fille. La justice doit s’en mêler et décrète qu’il s’agit d’Emilie ans plus tard, Emilie va se mettre en quête de son identité, après la réception d’un cahier rédigé par Crédule Grand Duc, détective privé qui enquête sur cette histoire depuis 18 ans. Elle donne ce cahier à Marc, qui va se mettre en quête de la les premières pages, je me suis prise de passion pour ce livre et pour cette histoire. Elle est machiavélique et torturée. A chaque chapitre, nous avons l’impression de tout comprendre, de savoir qui est Emilie, mais on se rend vite compte que tel n’est pas le Bussi a tissé une toile complexe autour des personnages et l’histoire, qui est morcelée en chapitres mélangés dans le temps, ne trouve son dénouement que dans les toutes dernières pages. Il va donc falloir être patient pour tout suivons plusieurs histoires en même temps la lecture du cahier de Crédule, ce que fait Emilie pendant que Marc lit, les découvertes de Marc et les vies des alternance de personnages et de période fait durer le plaisir et le suspens. Ce livre est addictif et prenant. Le talent de Michel Bussi n’est plus à démontrer et ce roman en est une preuve avion sans elle est un thriller psychologique à dévorer sans modération qui vous rendra addict à Michel
Jai lu "Un avion sans elle" de Michel Bussi édité en novembre 2015. C'est l'histoire de Lylie. Elle vient d'avoir 18 ans et sa véritable filiation est toujours inconnue. Est-elle Lyse-Rose de Carville petite fille de bourgeois, riches industriels de
Résumé " 23 décembre 1980. Un crash d'avion dans le Jura. Une petite libellule de trois mois tombe du ciel, orpheline. Deux familles que tout oppose se la disputent. La justice tranche elle sera Emilie Vitral. Aujourd'hui, elle a 18 ans, la vie devant elle mais des questions plein la tête. Qui est-elle vraiment ? Dix-huit ans que Crédule Grand-Duc, détective privé, se pose la même question. Alors qu'il s'apprête à abandonner, la vérité surgit devant ses yeux, qu'il referme aussitôt, assassiné. Il ne reste plus qu'un vieux carnet de note, de souvenirs, et Marc, son frère, pour découvrir la vérité..." Auteur Michel Bussi Editions Pocket Date de parution 2012 Pages 573 Mon avis J'avais entendu pas mal d'échos positifs sur l'auteur Michel Bussi et ses œuvres, et notamment sur le livre Un avion sans elle. Je suis du genre un peu méfiante, car, lorsque j'en entends pas mal parler et que j'entends énormément d'éloges sur un livre, en général, j'en attends alors beaucoup du roman, et je suis souvent déçue ! Mais, je peux vous dire d'emblée ça n'a absolument pas été le cas pour Un avion sans elle. Non, puisque ce livre a été une révélation pour moi ! Un vrai coup de cœur ! Dans ce roman thriller/policier, on retrouve Crédule Grand-Duc, un détective privé, qui mène une enquête depuis bientôt dix-huit ans, à la suite d'un crash d'avion qui a eu lieu en 1980, En effet, un seul bébé a été retrouvée sur le Mont Terrible, lieu même de l'accident d'avion, alors qu'il y avait pourtant deux bébés à bord. Qui donc est ce bébé, surnommée "Libellule", la seule survivante de ce crash d'avion Istanbul-Paris ? Emilie Vitral ou Lyse-Rose Carville ? La justice a tranché, mais pourtant personne n'a la certitude de l'identité de cette petite fille. Au début du livre, on se situe en 1998, où le détective Grand-Duc a retracé dans un carnet les différents éléments qu'il a appris au cours de ces longues années d'enquête. Considérant cette affaire comme un échec pour lui, n'ayant pas réussi à démêler le vrai du faux, il s'apprête à se tirer une balle dans la tête, mais mais, car il y a un mais ! Il trouve alors la solution au mystère. Bien-sûr, nous ne saurons l'issue de cette affaire qu'à la toute fin du roman. ll va alors confier son carnet de notes à Emilie, la Libellule, qui va elle-même le donner à Marc, puis celle-ci "s'en va", pour une raison assez mystérieuse que nous connaîtrons ensuite. Nous allons alors, nous lecteurs, suivre tout au long du roman Un avion sans elle, l'enquête de ces dix-huit dernières années à travers les notes de Crédule Grand-Duc. Mais pas seulement. On retrouve aussi dans cette œuvre, des allers-retours, entre le présent et le "passé. Le présent se déroulant du point de vue des différentes protagonistes, dont le principal est celui de Marc Vitral, le frère d'Emilie, dite Lylie, ou la "Libellule". Alors que dire, que dire de ce roman.... Eh bien, oui, je peux dire qu'il est tout simplement génial ! Ce livre est clairement et tout simplement un coup de cœur ! Le déroulement de l'intrigue est très bien mené et bien ficelé. Je n'avais pas envie de lâcher ce roman une seconde ! Michel Bussi a réalisé un vrai coup de maître ! Chapeau bas, franchement ! J'ai été vraiment agréablement surprise de ma lecture, mais aussi de l'auteur. Il a ce don particulier de nous maintenir en haleine du début à la fin ! Vraiment, le suspense est à son comble jusqu'aux dernières pages de l'oeuvre. Il nous "balade" tout au long du roman, et je trouve ça vraiment excellent ! C'est un auteur talentueux que je suis heureuse d'avoir découvert ! Je sais à présent que je ne vais pas hésiter à me tourner vers ses autres livres, et à les acheter avec plaisir ! Je comprends maintenant son "succès" et sa montée grandissante, et c'est totalement justifié et mérité. Bon, sinon, pour en revenir à Un avion sans elle j'ai énormément apprécié le style d'écriture les mots sont simples. Attention, ce n'est pas du tout péjoratif, au contraire. La lecture du livre est très fluide. On a quand même à faire à une bonne brique de 573 pages, et pourtant ce roman se lit très facilement, et rapidement ! Je tournais, tournais les pages, et je retournais encore des pages sans m'en rendre compte. Quelques fois durant ma lecture, je regardais où je me situais dans les pages. Et à chaque fois je me disais déjà ! J'avais lu 100 pages sans m'en rendre compte. Et ça s'est produit de cette manière tout au long de ma lecture. En ce qui concerne l'intrigue, on échafaude des théories au fur et à mesure des pages, qui sont vite balayées ! Je me suis posée la même question tout au long de l'oeuvre mais qui est Libellule ? Qu'est-ce qui s'est vraiment passé ? D'autres questions s’additionnent au fur et à mesure que le récit avance. Je n'en pouvais plus, je voulais connaître le fin mot de l'histoire ! Et les réponses aux questions sont ... à la fin du roman. Et oui, pour les impatients, comme moi, il faudra patienter jusqu'à la fin ! Mais on trouve vraiment toutes les réponses à nos questions, et ça, j'ai bien apprécié. Mais vous allez me dire, on ne s'ennuie pas, on ne se lasse pas, si toutes les informations ne sont révélées qu'à la toute fin ? Pour ma part, je dirai pas du tout ! Car même s'il faut vraiment attendre les dernières pages de ce thriller pour connaître enfin ce qui s'est passé, on ne s'ennuie pas une seule minute en le lisant ! Au connaître ! J'ai lu ce livre en à peine deux petites soirées. Comme je l'ai dit au-dessus, je voyais les pages défiler sans m'en rendre compte ! C'est vraiment une lecture captivante, mais ce que j'ai aimé aussi, c'est me poser des question, et moi aussi participer à l'enquête. Je n'avais RIEN vu venir. Ah si, hormis une petite chose. SPOILERS, pour ce qui ne veulent pas savoir Le fait que Lylie ne soit pas présente dans l'avion, que ce ne soit ni Emilie Vitral, ni Lyse-Rose Carville. Ça je l'avais vu venir dès le départ, d'autant plus que le titre, qui est superbement et subtilement bien trouvé d'ailleurs, m'avait mise sur cette piste. Et les révélations finales ne m'ont pas déçues au contraire ! Car on pourrait penser qu'à force de trop faire languir le lecteur, le final ne sera pas aussi spectaculaire qu'on peut l'imaginer. Mais non, j'ai trouvé ces révélations finales bien pensées, simples et pas du tout surréalistes. Et je me suis même dis mais pourquoi n'y ai-je pas pensé ? Par ailleurs, j'ai beaucoup aimé au cours cette lecture l'alternance, entre le "passé" les notes du détective sur les années d'enquête, mais aussi ce qui se passe du point de vue des différents protagonistes Marc est le principal, mais on suit la narration aussi du point de vue de Crédule Grand-Duc, Malvina, Lylie, Mme Carville, ou encore Mme Vitral. J'ai aimé l’évolution des personnages au fur et à mesure de ma lecture, la manière dont ils ont été construits. C'est très intéressant, très surprenant. Notamment les personnages de Malvina et de Crédule Grand-Duc. Je ne vous en dis pas plus. Seulement qu'il faut véritablement se méfier des apparences ! J'ai cependant une toute petite chose, mais vraiment minime, qui m'a quelque peu "dérangée" j'aurais aimé que Lylie intervienne plus dans l'intrigue. Mais, à la fin, on comprend la raison pour laquelle cela n'a pu être possible. Et c'est justifié. Aussi, j'ai aimé les différents "voyages" dans lesquels nous embarque l'auteur on ne reste pas figé dans un endroit précis, on voyage à travers la Capitale, à travers l'Est de la France, la Normandie... Clairement j'ai apprécié reconnaître des endroits familiers de ma Normandie ! Mais hormis ce détail, on sent une recherche, un savoir de ces différents endroits de France, très bien détaillés, très précis, comme si l'auteur les connaissait personnellement. Je m'excuse de cette chronique un peu brouillonne, un peu répétitive, mais j'ai eu du mal à l'écrire, tant ce bouquin m'a plu. Il n'y a rien, ou presque rien à redire. Ce thriller est époustouflant, captivant. C'est donc, vous l'aurez compris, un livre que je recommande ABSOLUMENT, alors n'hésitez pas, foncez et lisez ce livre incroyablement bien mené et écrit ! Citation " Dix-huit ans que cette histoire me colle aux neurones, comme une petite boule de cervelle rose, mâchée et remâchée, jusqu'à n'avoir plus aucune saveur. Méfiez-vous, vous qui lisez ces pages, que la petite boule de cervelle rose ne se colle pas à vos propres pensées, malaxée par votre imagination, étirée par votre logique. Sans fin. " Ma note 19/20
Cest un peu le problème de Michel Bussi j’ai l’impression, on croit Ă tout sauf Ă la fin oĂą l’on se dit que quand mĂŞme, c’est un peu gros ! Mais pas de quoi se priver du plaisir coupable de dĂ©couvrir l’intrigue d’ « Un Avion sans Elle », peut-ĂŞtre Ă
Fred Duval et Nicolaï Pinheiro proposent leur propre version d’Un avion sans elle, le roman qui a fait la célébrité de Michel Bussi. Une adaptation convaincante d’un polar bien ficelé, entre Normandie et Jura. © 2021 Glénat Récemment, les éditeurs BD nous ont proposé nombre d’adaptations de chefs-d’œuvre de la littérature, pensez aux Moby Dick et Bartleby le scribe d’Herman Melville ou aux quatre versions de 1984 de George Orwell. Pour autant, ils n’ignorent pas les best-sellers contemporains, notamment ceux de Michel Bussi, Nymphéas noirs étant la seconde adaptation par Fred Duval. Avec 10 millions d’opus vendus en 36 langues, l’écrivain normand s’est hissé au second rang des meilleures ventes annuelles françaises, détrônant Marc Levy, juste après l’intouchable Guillaume Musso. Un best-seller est un produit parfaitement formaté. Il associe une écriture rapide, une intrigue alambiquée ici policière, elle mêle la catastrophe du mont Saint-Odile, un échange d’enfants et un juge dépassé, une romance impossible incestueuse, une héroïne sympathique, un méchant un industriel tout puissant, de très nombreux rebondissements, un twist final et, généralement, un happy end. Un avion de ligne s’écrase dans le massif du Jura. Le seul survivant est un bébé de 3 mois que vont s’arracher une famille richissime et un couple de petits commerçants. L’histoire est racontée par le détective privé, chargé de l’enquête durant 18 ans. Les personnages sont bien écrits et échappent à un manichéisme outrancier. Tout au plus, manquent-ils d’un héros principal, la jeune fille miraculée se révélant dépassée par son destin. Fred Duval ayant élagué le texte pour rester dans un format de BD, le lecteur devra être attentif aux codes couleur des bulles, plusieurs ellipses sont surprenantes. Nicolaï Pinheiro a grandi au Brésil et a découvert la BD dans les comics américains et les journaux satiriques. Ce n’est qu’en arrivant en France, à l’âge de 18 ans, qu’il s’est initié au style franco-belge. Privilégiant des couleurs chaudes, son dessin réaliste et d’un grand classicisme est au service de l’histoire. L’expressivité de ses visages permet de ne pas surcharger en textes les planches. Le travail sur les personnages âgés, plus tourmentés, rappelle celui de François Boucq. Le contexte historique est bien rendu et il a particulièrement réussi la jeune et complexe Malvina et le célèbre fourgon H Citroën. Les 176 pages passent rapidement. Le lecteur est accroché, même si, au final, l’histoire se fera rapidement oublier. C’est le principe d’un best-seller. Stéphane de Boysson Un avion sans elle Scénario Fred Duval, d’après Michel Bussi Dessin Nicolaï Pinheiro Éditeur Glénat 176 pages – 25 € Parution 26 mai 2021 Un avion sans elle — Extrait © 2021 Glénat
Toutcomme j'avais adoré Nymphéas noirs adapté d'un roman de Michel Bussi par Fred Duval, j'ai également beaucoup aimé "Un avion sans elle" dont le titre original inspiré d'une chanson de Charlélie Couture
Les petites annonces . Un avion sans elle BOTERO Comme neuf Poster un avis sur cet album L'avis des visiteurs Afficher encore 5 avisToutes les éditions de cet album ©Glénat 2021 Duval/Pinheiro Un avion sans elle Identifiant 423835 Scénario Duval, Fred Dessin Pinheiro, Nicolaï Couleurs Pinheiro, Nicolaï Adapté de Bussi, Michel Dépot légal 05/2021 Parution le 26/05/2021 Achev. impr. 04/2021 Estimation non coté Editeur Glénat Format Grand format ISBN 978-2-344-03937-3 Planches 166 Poids 1232 g Autres infos Créé le 07/05/2021 modifié le 27/05/2021 2336 Info édition Noté "/001" après ISBN. ©Glénat 2021 Duval/Pinheiro HC . Un avion sans elle Identifiant 436461 Scénario Duval, Fred Dessin Pinheiro, Nicolaï Couleurs Pinheiro, Nicolaï Dépot légal 11/2021 Estimation non coté Editeur Glénat Format Grand format ISBN Planches 166 Poids 1232 g Autres infos Créé le 13/11/2021 modifié le 13/11/2021 1709 Info édition Épreuves et visuels non contractuels. Album non corrigé en cours de réalisation. Ne peut être vendu. ©Glénat 2021 Duval/Pinheiro TL . Un Avion Sans Elle Identifiant 425458 Scénario Duval, Fred Dessin Pinheiro, Nicolaï Couleurs Pinheiro, Nicolaï Adapté de Bussi, Michel Dépot légal 05/2021 Parution le 26/05/2021 Achev. impr. 04/2021 Estimation non coté Editeur Glénat Format Grand format ISBN 978-2-344-04989-1 Planches 166 Poids 1232 g Autres infos Créé le 30/05/2021 modifié le 01/06/2021 0850 Autre image Ex-libris Info édition Tirage limité à 500 exemplaires pour les librairies Bulles en Tête et BDlib. Il est enrichi d'un cahier de 8 pages supplémentaires avec une interview et des illustrations inédites. L'album bénéficie d'un dos toilé avec une couverture alternative avec pelliculage soft touch, il est accompagné d'un ex-libris numéroté et signé à 500 exemplaires.
Conseilsde lecture – actualité du livre Connexion search. menu. home; Découvrir L'actualité des livres et des auteurs Un avion sans elle. Un avion sans elle . Fiche; Avis(3) Autres éditions(1) 3 notes . Michel Bussi Nicolai Pinheiro Fred Duval. Date de parution : 26/05/2021; Editeur :
Auteur Michel BussiEditions PocketGenre PolicierNombre de pages 573 pages Mouchot, le jeune pompier, était persuadé qu'il n'avait découvert qu'un petit corps sans vie le nourrisson avait passé plus d'une heure sous la neige... Et pourtant, lorsqu'il se pencha, il se fit la réflexion que l'enfant, son visage, ses mains, ses doigts étaient à peine bleuis. ... La chaleur protectrice de la carlingue brûlante l'enveloppait. Lyse-Rose ou Emilie ? Quelle est l'identité de l'unique rescapé d'un crash d'avion, un bébé de 3 mois ? Deux familles, l'une riche, l'autre pas, se déchirent pour que leur soit reconnue la paternité de celle que les média ont baptisée Libellule. Dix-huit ans plus tard, un détective privé prétend avoir découvert le fin mot de l'histoire, avant d'être assassiné, laissant derrière lui un cahier contenant tous les détails de son quartier parisien de la Butte-aux-Cailles jusqu'à Dieppe, du Val-de-Marne aux pentes jurassiennes du mont Terrible, le lecteur est entraîné dans une course haletante jusqu'à ce que les masquent tombent...... Mon avis Ce livre est le premier que je lis de cet auteur. Michel Bussi a une très belle plume qui vous plonge à 100% dans l'histoire. Après, je dois quand même avouer que j'ai eu un peu de mal à rester dans l'histoire. Le début est vraiment accrocheur avec le crash de l'avion mais la suite m'a un peu perdu. La lecture du journal est assez lassante. Et, finalement mon intérêt pour l'histoire est revenu au moment où Marc finissait sa lecture et se lançait dans sa propre tourne autour de Lyse Rose, Emilie, Lily ... Bref, une jolie libellule. Et pourtant, elle n'est pas souvent présente physiquement. Mais au final, on connaît tout d'elle ou du moins, on la connaît à travers les souvenirs du détective privé et de Marc. C'est une autre façon de découvrir le personnage central et c'était assez beaucoup aimé le personnage de Malvina. Grand Duc la prend pour une folle. Mais, pour moi, C'est une jeune femme blessée en manque de sa sœur. Elle a beaucoup de souvenirs et à cause de cela, elle vit dans le passé et refuse de personnage qui m'a beaucoup marqué Crédule Grand Duc. Dès le début, je ne le sentais pas vraiment. On remarque vite que l'argent lui plaît beaucoup trop. Et, j'ai trouvé qu'il prenait cette enquête un peu à la légère. Mais bon, il a dû se dire qu'il avait 18 ans pour la résoudre. Bref, c'est le jour où il n'est plus payer qu'il trouve quelque chose d'intéressant. Bien entendu, il ne dira rien sans une belle compensation financière. Enfin, quand on voit que Marc a mis seulement 2-3 jours à tout découvrir rien qu'avec la lecture du journal, on se dit que le privé n'était pas le j'ai mis un peu de temps à lire ce pavé. Mais au final, je ne suis pas trop déçue par ma lecture. L'enquête de Grand Duc et donc la lecture du journal m'ont un peu saoulé mais une fois que Marc se lance seul dans sa quête, le livre reprend de l'intérêt. C'est un peu un second souffle. Je ne sais pas si je me lancerais tout de suite dans un nouveau livre de Michel Bussi. Mais dans tous les cas, c'est un grand auteur qui a une belle Note 14/20.
Paruaux éditions Presses de la Cité en 2012, Un avion sans elle a été traduit dans 34 pays On se passionne pour l’histoire de cet enfant, des deux familles qui se l’arrachent, et pour ces sombres secrets que nous portons tous en nous. Annulez tous vos rendez-vous, vous n’allez pas le lâcher. » Lisa Gardner, #1 New York Times - Auteur des best-sellers Crash &
Michel Bussi – Un avion sans elle le 28 février 2013 • 4° de couverture Lyse-Rose ou Emilie ? Quelle est l’identité de l’unique rescapé d’un crash d’avion, un bébé de trois mois ? Deux familles, l’une riche, l’autre pas, se déchirent pour que leur soit reconnue la paternité de celle que les médias ont baptisée Libellule. Dix-huit ans plus tard, un détective privé prétend avoir découvert le fin mot de l’affaire, avant d’être assassiné, laissant derrière lui un cahier contenant tous les détails de son enquête. Du quartier parisien de la Butte-aux-Cailles jusqu’à Dieppe, du Val-de-Marne aux pentes jurassiennes du mont Terrible, le lecteur est entraîné dans une course haletante jusqu’à ce que les masques tombent. Mon avis Faites un petit effort, projetez-vous en arrière, en 1998 quel que soit votre âge. Voilà le seul effort qu’il vous sera demandé pour bien apprécier ce roman. Primordial pour que l’histoire tienne la route dans votre esprit. Vous y êtes ? Alors plongeons ensemble dans cette intrigue au postulat de départ plutôt original premier bon point. Un crash d’avion, un seul bébé survivant, deux familles qui s’entre-déchirent pendant 18 ans pour la paternité de l’enfant. Un avion sans elle » est un thriller du quotidien, pas le genre de récit qui accumule les morts à chaque page. Un ambiance assez old school » rien que les noms ridicules des protagonistes ont failli me faire lâcher la morceau, mais une écriture vive et moderne. Le sujet peut paraître énorme, bancal, j’ai eu des doutes à ce sujet pendant la première partie de la lecture. Et pourtant, la dernière page tournée, je ne peux qu’applaudir des deux mains. 530 pages, dont les deux premiers tiers sont de facture assez classique, le rythme de croisière est vite atteint, mais le récit prend définitivement son envol sur 100 dernières pages assez magistrales, avec des rebondissements à foison. Ce bouquin est typiquement le genre de récit qui n’a de sens que par son final. Et ce final, vous pouvez toujours courir pour l’imaginer dans le détail. Voilà donc un thriller grand public qui, même s’il ne révolutionne pas le genre, produit son effet, grâce à sa construction, ses personnages et l’émotion qui transpire du récit. Bussi a vraiment bien piloté son affaire. Publication française 2012 Originalité de l’intrigue Profondeur de l’histoire Qualité de l’écriture Émotion Note générale Catégories LittératureTagsLu en 2013, Michel Bussi, Thriller
lessentiel Le 24 septembre prochain, à Blagnac, l’association Aérocherche recevra la fille d’un pilote mort dans le crash de son avion près de Mont-de-Marsan. Pour lui remettre des vestiges de
Pour ma cinquième incursion dans l’œuvre de Michel Bussi, me voilà dans une intrigue bien compliquée à résumer. En 1980, un avion de ligne s’écrase dans le Jura, tout le monde meurt carbonisé sauf un nourrisson de quelques semaines, éjecté par miracle de la carlingue. Problème, il y avait deux petites filles de cet âge dans l’avion et pas moyen de savoir si la miraculée est Emilie Vitral, fille d’un modeste couple normand, ou Lyse-Rose de Carville, cadette d’un capitaine d’entreprise très riche. La justice va devoir trancher, et au bout d’une enquête très laborieuse, et de façon inattendue, c’est à la famille Vitral que le bébé est confié. 1998, Emilie Vitral a aujourd’hui 18 ans, et l détective privé engagé par la famille de Carville pour refaire toute l’enquête est assassiné, son journal de bord échoue entre les mains de Marc Vitral, frère d’Emilie. Et voilà qu’Emilie disparait Avec l’aide du journal, Marc recherche sa sœur, et la vérité par la même occasion, une vérité qu’il espère et redoute en même temps Emilie est-elle vraiment sa sœur comme la justice l’a décidé ? Très difficile à résumé, à cause d’une intrigue bien touffue, Un avion sans elle » a les mêmes qualités et les mêmes défauts que tous les autres romans de Bussi. C’est addictif comme un bon polar doit l’être, avec le petit cliffhanger à la fin de chaque chapitre ou presque. L’intrigue, assez palpitante je dois l’avouer, est mise en valeur à la fois par l’enquête de Marc qui recherche sa sœur et en même temps par le journal du détective privé, qui relate 18 ans d’enquête et qu’il lit en parallèle. L’histoire est parfaitement remise dans son contexte, celui des années 80, avec la victoire de la gauche en mai 81 et qui permet aussi un peu aux Vitral d’avoir gain de cause en justice, malgré le pouvoir et les relations de la famille de Carville, et de l’absence des expertises d’ADN qui auraient réglé la question en deux jours ! Le dénouement est complètement inattendu à 10 pages de la fin, je nageais encore en plein brouillard. Facile à lire, avec des personnages attachants, Un Avion sans Elle » a cependant quelques petits défauts. Bussi délie son intrigue comme on étire un chewing-gum, fait durer le suspens, parfois un peu superficiellement, le style du journal de Crédule Grand-Cuc c’est le nom improbable du détective privé est grandiloquent, presque pompeux. Et puis surtout, second défaut, le dénouement est certes imprévu, mais aussi un peu tiré par les cheveux ! C’est un peu le problème de Michel Bussi j’ai l’impression, on croit à tout sauf à la fin où l’on se dit que quand même, c’est un peu gros ! Mais pas de quoi se priver du plaisir coupable de découvrir l’intrigue d’ Un Avion sans Elle », peut-être à mon sens le meilleur Bussi que j’ai lu à ce jour. Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous
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un avion sans elle fin de l histoire