Comment les richesses et la pauvreté sont-elles réparties dans le monde, à toutes les échelles ? Explications avec la professeure d'histoire-géographie en pdf le support du coursle plan détaillé du coursPlan du coursI. A l’échelle mondiale, de forts contrastes de richesses et de pauvreté entre les paysA -Une réduction globale de la pauvretéLa géographie de la pauvreté mondiale. La pauvreté, 1ère cause de mortalité au pauvreté en déclin à l’échelle -Des richesses inégalement réparties et un accroissement des inégalitésDes richesses inégalement réparties. Une pauvreté qui reste très combinaison entre inégale répartition des richesses et le - Des pays inégalement développésMesurer le développement des richesses et pauvreté. Covid-19, une géographie mondiale révélatrice des inégalités de développement. Richesses et pauvreté sont ainsi inégalement réparties dans le monde. Cela conduit à des inégalités sociales majeures entre les populations et entre les états. Ces derniers ont ainsi des niveaux de développement variés. Toutefois, les inégalités socio-spatiales sont présentes dans l’ensemble des états, sous des formes A l’échelle nationale, des inégalités socio-spatiales majeures dans tous les paysA - Au sein des Etats, des régions inégalement développéesEn France hexagonale et d’outre-mer, une grande disparité entre Afrique du Sud, des provinces Bangladesh, un exode rural - Des inégalités socio-économiques majeures dans l’ensemble des pays, des freins au développementDans les pays développés, des inégalités d’accès à l’emploi les pays émergents, des inégalités de revenus très importantes. Dans les pays en cours de développement, des inégalités majeures pour accéder à l’ - Faire reculer la pauvreté et lutter contre les inégalités, des défis majeurs pour les Etats, qui impliquent des acteurs variésInstitutions internationales et Etats, des acteurs organisations non gouvernementales initiatives citoyennes des Etats, quel que soit leur niveau de développement, est touché par des inégalités majeures en termes de répartition des richesses mais de développement. Nous allons à présent analyser la matérialisation de ces inégalités et de la lutte contre ces dernières à l’échelle locale, en étudiant les A l’échelle locale, richesse et pauvreté se côtoientA - Des quartiers très riches dans l’ensemble des métropoles…Les métropoles, des espaces révélateurs des inégalités une métropole gated communities », des espaces d’exclusion au cœur des métropoles émergentes et en - … qui côtoient des poches de pauvreté majeuresEn périphérie des villes, des espaces marqués par la Paris, des habitations précaires aux portes de la bidonvilles dans les métropoles des pays émergents et en cours de - Les métropoles, reflet des inégalités de développement en contexte de pandémie mondialeUne vulnérabilité accrue par la densité de population. Les villes-mondes », premiers espaces touchés par le Covid-19. Des populations inégalement vulnérables, reflet des disparités de richesses et de développement. ConclusionLes richesses sont inégalement réparties dans le monde. Si le niveau de développement des pays varie, ces inégalités se matérialisent dans l’ensemble des états. Des mesures sont prises à toutes les échelles pour les réduire. En contexte de crise, les inégalitées de richesses et de développement sont particulièrement mises en lumière et Didier FraisseProducteur France tv studioAnnée de copyright 2020Publié le 01/07/20Modifié le 31/01/22Ce contenu est proposé parPrenonsl'exemple de deux villes de Californie aux Etats-Unis, San Francisco et Los Angeles. Ces deux villes se situent comme le montre la carte ci-dessous sur la faille de San Andréas où le risque sismique est très élevé. Ces deux villes ont été plusieurs fois frappées par des tremblements de terre très violent. Et pourtant plus de 10
La répartition de la population mondiale CM E I H P A R G GÉO La répartition de la population mondiale La répartition de la population. Les montagnes ne regroupent que 10% de la population mondiale. Les hommes semblent préférer s’installer dans les plaines, les plateaux et les vallées ou encore sur les littoraux plutôt que dans les hautes montagnes. Pourtant, les montagnes ont rarement été un obstacle. Certaines d’entre elles ont même été d’importants foyers de peuplement, alors qu’au même moment, les plaines qui les entouraient restaient vides d’hommes. Malgré leur altitude et leur relief, l’Himalaya, les Andes et les Alpes constituent le cadre de vie de 70 millions de personnes, tandis que les montagnes africaines regroupent près de 70 millions de personnes. Relief et peuplement, d’après Isabelle Sacareau, La montagne, une approche géographie, Belin, 2003. CM E I H P A R G GÉO L’Amazonie Tokyo Certains foyers de peuplement sont dus aux migrations de population ainsi, les régions densément peuplées d’Amérique du Nord et du Sud existent en raison de l’arrivée massive de population en provenance d’Europe, à partir du XVIe siècle mais surtout au XIXe siècle. Aujourd’hui, les continents riches, l’Amérique du Nord et l’Europe, attirent les populations en provenance des continents africain et asiatique. Cependant, ces migrations internationales ne remettent pas en cause la répartition de la population mondiale. CM E I H P A R G GÉO La répartition de la population mondiale La population mondiale est inégalement répartie. Les trois principaux foyers de peuplement Asie de l’Est, Asie du Sud et Europe regroupent plus de la moitié de la population. Littoraux, plaines et vallées sont souvent plus peuplés que l’intérieur des continents ou les hautes montagnes, qui sont pratiquement vides d’hommes on parle de déserts humains. L’histoire, l’activité économique et les migrations expliquent cette répartition mondiale.
01 76 38 08 47AccueilRechercheSe connecterPour profiter de 10 contenus connecterPour profiter de 10 contenus Terminale Géographie Carte La répartition de la population dans le monde La répartition de la population mondialeCespays possèdent 80% de la richesse paysages Taux de scolarisation dans le mondiale, alors que leur population ne représente que 20% des habitants de fiche N°9 : les principales villes monde : carte - photos la planète. en France, en Carte de la faim dans le Dans d’autres pays, au contraire, la plupart des habitants sont pauvres : ce Europe, au monde en 2006 sont les pays Principaux faitsAu total, 1,5 million de personnes sont mortes de la tuberculose en 2020 dont 214 000 présentaient également une infection à VIH. À l’échelle mondiale, la tuberculose est la 13e cause de mortalité et la deuxième due à une maladie infectieuse, derrière la COVID-19 et avant le sida.Selon les estimations 9,9 millions de personnes ont développé la tuberculose dans le monde. Cela concerne 5,5 millions d’hommes, 3,3 millions de femmes et 1,1 million d’enfants. La tuberculose est présente dans tous les pays et toutes les tranches d’âge. Cependant, c’est une maladie que l’on peut éviter et 2020, 1,1 million d’enfants ont développé la tuberculose dans le monde. Chez les enfants et les adolescents, la maladie n’est souvent pas reconnue par les prestataires de soins et elle peut être difficile à diagnostiquer et à tous les nouveaux cas de tuberculose enregistrés en 2020, 86 % sont survenus dans les 30 pays présentant la plus forte charge de la maladie. Deux tiers des cas sont concentrés dans huit pays, avec l’Inde en tête, suivie de la Chine, de l’Indonésie, des Philippines, du Pakistan, du Nigéria, du Bangladesh et de l’Afrique du de la tuberculose régresse d’environ 2 % par an à l’échelle mondiale. La baisse cumulée entre 2015 et 2020 se chiffre à 11 %, soit un peu plus de la moitié de la cible fixée dans la Stratégie pour mettre fin à la tuberculose, qui visait une réduction de 20 % entre 2015 et 2020. On estime que le diagnostic et le traitement de la tuberculose ont permis de sauver 66 millions de vies entre 2000 et le monde, près d’un ménage sur deux touché par la tuberculose doit faire face à des coûts supérieurs à 20 % de ses revenus selon les dernières données des enquêtes nationales sur les coûts de la tuberculose pour les malades. La communauté internationale n’a pas atteint son objectif intermédiaire pour 2020 selon lequel personne, parmi les malades de la tuberculose et leurs familles, ne devrait supporter de coûts catastrophiques liés à la 2022, il faudra 13 milliards de dollars chaque année pour la prévention, le diagnostic, le traitement et la prise en charge de la tuberculose en vue d’atteindre l’objectif mondial convenu en 2018 lors de la réunion de haut niveau des Nations Unies sur la tuberculose. Le financement dans les pays à revenu faible et intermédiaire, qui représentent 98 % des cas de tuberculose signalés, est bien loin de répondre aux besoins. En 2020, les dépenses se sont élevées à 5,3 milliards de dollars soit moins de la moitié 41 % de l’objectif dépenses ont diminué de 8,7 % en 2020 par rapport à 2019 de 5,8 à 5,3 milliards de dollars ce qui a ramené le financement de la lutte contre la tuberculose en 2020 au niveau de un terme à l’épidémie de tuberculose d’ici à 2030 figure parmi les cibles pour la santé des objectifs de développement durable des Nations tuberculose est due à une bactérie Mycobacterium tuberculosis qui touche le plus souvent les poumons. C’est une maladie que l’on peut prévenir et tuberculose se transmet d’une personne à l’autre par voie aérienne. Quand une personne ayant une tuberculose pulmonaire tousse, éternue ou crache, elle projette des bacilles tuberculeux dans l’air. Il suffit d’en inhaler seulement quelques-uns pour s’ un quart de la population mondiale présente une infection tuberculeuse latente, ce qui signifie que ces personnes ont été infectées par le bacille tuberculeux, mais ne sont pas encore malades et ne peuvent pas transmettre la toute la durée de leur vie, les sujets infectés par le bacille tuberculeux ont 5 à 10 % de risque de développer la maladie. Ce risque est toutefois beaucoup plus élevé chez les personnes qui ont un système immunitaire déficient, notamment celles qui vivent avec le VIH ou qui souffrent de malnutrition ou de diabète, ainsi que chez les consommateurs de tuberculose évolutive apparaît, les symptômes tels que toux, fièvre, sueurs nocturnes ou perte de poids peuvent rester bénins pendant de nombreux mois. Par conséquent, il arrive que les malades tardent à consulter un médecin, ce qui favorise la transmission du bacille à d’autres personnes. Un sujet ayant une tuberculose évolutive peut infecter 5 à 15 autres personnes par an lors de ses contacts proches. En l’absence de traitement, en moyenne 45 % des sujets tuberculeux négatifs pour le VIH mourront, de même que pratiquement tous ceux qui sont aussi est le plus exposé au risque ?La tuberculose touche surtout les adultes pendant les années où ils sont le plus productifs, mais le risque existe pour toutes les tranches d’âges. On recense plus de 95 % des cas et des décès dans les pays en sujets infectés par le VIH ont 18 fois plus de risque de développer une tuberculose évolutive voir ci-dessous la section sur la tuberculose et le VIH. Le risque est également plus élevé pour ceux qui souffrent d’autres affections affaiblissant le système immunitaire. Chez les personnes souffrant de dénutrition, le risque est trois fois plus élevé que la normale. En 2020, 1,9 million de nouveaux cas de tuberculose étaient imputables à la dénutrition dans le troubles liés à la consommation d’alcool et le tabagisme augmentent le risque d’apparition de la maladie d’un facteur 3,3 et 1,6, respectivement. Parmi les nouveaux cas de tuberculose survenus dans le monde en 2020, 0,74 million étaient imputables à des troubles liés à la consommation d’alcool et 0,73 million au mondial de la tuberculoseLa tuberculose est présente dans toutes les régions du monde. En 2020, la Région de l’OMS ayant enregistré le plus grand nombre de nouveaux cas de tuberculose était celle de l’Asie du Sud-Est 43 % de tous les nouveaux cas, suivie de la Région africaine 25 % et de la Région du Pacifique occidental 18 %.En 2020, 86 % des nouveaux cas se sont produits dans les 30 pays à forte charge de la tuberculose. Deux tiers des cas sont concentrés dans huit pays l’Inde, la Chine, l’Indonésie, les Philippines, le Pakistan, le Nigéria, le Bangladesh et l’Afrique du et diagnosticLes symptômes courants de la tuberculose pulmonaire évolutive sont une toux accompagnée d’expectorations parfois teintées de sang, des douleurs thoraciques, un état de faiblesse, une perte de poids, de la fièvre et des sueurs nocturnes. L’OMS préconise d’utiliser des tests moléculaires rapides pour le diagnostic initial de toutes les personnes présentant des signes et des symptômes de tuberculose. Ces tests sont en effet très fiables et permettront de faire des progrès considérables dans la détection précoce des cas de tuberculose et de tuberculose pharmacorésistante. Les tests rapides suivants sont recommandés par l’OMS Xpert MTB/RIF, Xpert MTB/RIF Ultra et la tuberculose multirésistante et d’autres formes de tuberculose pharmacorésistante voir ci-dessous la section sur la tuberculose multirésistante, ainsi que pour la tuberculose associée au VIH, le diagnostic peut être complexe et tuberculose est particulièrement difficile à diagnostiquer chez l’ tuberculose est une maladie que l’on peut soigner et guérir. Pour la tuberculose évolutive sensible aux médicaments, on administre un traitement standard de 6 mois associant 4 médicaments antituberculeux en l’accompagnant des informations et d’une aide au patient assurée par un agent de santé ou un bénévole entraîné. Sans ce soutien, il est plus difficile pour les patients d’observer leur estime que le diagnostic et le traitement de la tuberculose ont permis de sauver 66 millions de vies depuis et VIHLes sujets infectés par la tuberculose et également par le VIH ont 18 fois plus de risque de développer une tuberculose évolutive que les autres intervalle d’incertitude 15 à 21.La tuberculose et le VIH forment une association meurtrière, chacun accélérant l’évolution de l’autre. En 2020, environ 214 000 personnes sont mortes d’une tuberculose associée au VIH. Le pourcentage de cas notifiés de tuberculose pour lesquels un résultat attesté de test de dépistage du VIH était disponible ne s’établissait qu’à 73 % en 2020, contre 70 % en 2019. Dans la Région africaine de l’OMS, où la charge de la tuberculose associée au VIH est la plus élevée, 85 % des patients atteints de tuberculose disposaient d’un résultat attesté au test de dépistage du VIH. Globalement, parmi les patients tuberculeux dont l’infection à VIH était connue, 88 % étaient sous traitement antirétroviral en recommande une approche réunissant 12 composantes pour des activités intégrées contre la tuberculose et le VIH, avec des actions pour la prévention et le traitement de l’infection et de la maladie, afin de réduire la multirésistanteOn utilise les médicaments antituberculeux depuis des décennies et on a mis en évidence des souches résistantes à un ou plusieurs médicaments dans chaque pays étudié. La résistance apparaît quand les médicaments antituberculeux ne sont pas utilisés comme il faut, du fait de prescriptions incorrectes de la part des professionnels de la santé, de médicaments de mauvaise qualité ou des patients qui interrompent prématurément leur tuberculose multirésistante est une forme de la maladie due à un bacille ne réagissant pas à l’isoniazide et à la rifampicine, les deux médicaments antituberculeux de première intention les plus efficaces. On peut néanmoins soigner et guérir la tuberculose multirésistante avec des médicaments de deuxième intention. Ces options thérapeutiques sont toutefois plus limitées et nécessitent une administration de longue durée jusqu’à 2 ans de traitement de médicaments à la fois chers et certains cas, une résistance plus sévère peut se développer. Lorsque les bacilles responsables de la maladie ne sont pas sensibles aux médicaments de deuxième intention les plus efficaces, les patients peuvent se trouver à court d’options tuberculose multirésistante demeure une crise de santé publique et une menace pour la sécurité sanitaire. Seul un tiers environ des personnes atteintes de tuberculose pharmacorésistante ont eu accès au traitement en 2020. Dans le monde en 2018, le taux de succès thérapeutique chez les patients atteints de tuberculose multirésistante/résistante à la rifampicine était de 59 %. En 2020, l’OMS a recommandé que les patients atteints de tuberculose multirésistante soient traités selon un nouveau schéma thérapeutique, qui est plus court 9 à 11 mois et administré exclusivement par voie orale. Les études ont montré que les patients parviennent plus facilement à suivre ce traitement jusqu’au bout, par rapport aux autres traitements dont la durée peut aller jusqu’à 20 mois. Avant de commencer ce traitement, il faut exclure toute résistance aux aux lignes directrices de l’OMS, le diagnostic d’une tuberculose multirésistante ou résistante à la rifampicine doit reposer sur une confirmation bactériologique de la tuberculose et sur une mise en évidence de la pharmacorésistance à l’aide de tests moléculaires rapides, de méthodes de culture ou de techniques de séquençage. Le traitement nécessite l’administration de médicaments de deuxième intention pendant une période comprise entre 9 et 20 mois et s’accompagne d’un service de conseil aux patients et d’une surveillance des effets indésirables. L’OMS préconise d’élargir l’accès aux traitements administrés exclusivement par voie la fin 2020, 65 pays avaient commencé à utiliser des schémas thérapeutiques de plus courte durée pour traiter la tuberculose multirésistante et 109 avaient commencé à utiliser la bédaquiline en vue d’améliorer l’efficacité du traitement contre la tuberculose catastrophique La Stratégie de l’OMS pour mettre fin à la tuberculose a fixé un objectif visant à ce qu’aucune personne ou famille touchée par la tuberculose ne supporte de coûts catastrophiques pour les soins. Le suivi de cet objectif par les pays et par l’OMS depuis l’adoption de la Stratégie par l’Assemblée de la Santé en 2015 résolution montre que la communauté internationale n’a pas atteint le jalon de 0 % pour les résultats de 23 enquêtes nationales sur les coûts auxquels sont confrontés les patients atteints de tuberculose et leurs familles, le pourcentage de patients confrontés à des coûts catastrophiques* allait de 13 % à 92 % et la moyenne commune, pondérée en fonction du nombre de cas notifiés dans chaque pays, était de 47 % intervalle de confiance à 95 % 33-61 %. *coûts totaux > 20 % des revenus annuels du ménageInvestissements dans la prévention, le diagnostic et le traitement de la tuberculose et dans la rechercheIl faut 13 milliards de dollars chaque année pour la prévention, le diagnostic, le traitement et la prise en charge de la tuberculose en vue d’atteindre les objectifs mondiaux convenus lors de la réunion de haut niveau des Nations Unies sur la tuberculose. Or, les investissements dans la prévention, le diagnostic et la prise en charge de la tuberculose dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, qui représentent 98 % des cas de tuberculose signalés, sont loin de répondre aux besoins. Moins de la moitié 41 % de l’objectif mondial de financement pour la lutte contre la tuberculose est disponible, ce qui laisse un déficit de financement de 7,7 milliards de dollars en 2020 [1] pour atteindre les objectifs financement de la tuberculose est revenu au niveau de 2016 avec une baisse de 8,7 % des dépenses allouées à la maladie en 2020 par rapport à 2019 de 5,8 à 5,3 milliards de dollars les 5,3 milliards de dollars de financement disponibles pour lutter contre la tuberculose en 2020, 81 % provenaient de sources nationales, les pays du groupe BRICS Brésil, Fédération de Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud représentant 2,8 milliards de dollars 65 % du financement national total.Au cours de la dernière décennie, les bailleurs de fonds internationaux ont investi 0,9 milliard de dollars chaque année dans la lutte contre la tuberculose, la contribution la plus importante, 76 %, venant du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme le Fonds mondial. Le Gouvernement des États-Unis est le principal bailleur de fonds du Fonds mondial et aussi le plus grand donateur bilatéral. Globalement, il apporte près de 50 % du financement international en lien avec la données provisoires sur le financement de la lutte contre la tuberculose en 2021 laissent entendre que les sommes allouées pour 2021 ne suffiront toujours pas. Il est urgent d’accroître les financements nationaux et internationaux alloués à la lutte contre la le Treatment Action Group, il n’y a eu que 0,9 milliard de dollars de disponible en 2019 pour la recherche et le développement sur les 2 milliards nécessaires chaque année pour accélérer la mise au point de nouveaux outils. Au moins 1,1 milliard de dollars supplémentaires par an sont nécessaires pour accélérer le développement de nouveaux outils. Engagements de la communauté mondiale et action de l’OMSLe 26 septembre 2018, les Nations Unies ont tenu leur première réunion de haut niveau sur la tuberculose, portant ainsi la question à un niveau supérieur, celui des chefs d’État et de gouvernement, pour examiner la situation de l’épidémie de tuberculose et discuter des efforts à déployer pour y mettre fin. Cette réunion faisait suite à la première conférence ministérielle mondiale sur la tuberculose, organisée par l’OMS et le gouvernement russe en novembre 2017. Elle a abouti à une déclaration politique approuvée par tous les États Membres des Nations Unies, qui réaffirmait les engagements déjà pris en faveur des ODD et de la Stratégie pour mettre fin à la tuberculose de l’OMS et fixait de nouveaux cible des ODD vise notamment à mettre un terme à l’épidémie de tuberculose à l’horizon 2030. La Stratégie pour mettre fin à la tuberculose définit des objectifs intermédiaires pour 2020 et 2025 et des cibles pour 2030 et 2035 en termes de réduction des cas et des décès liés à la tuberculose. Les cibles pour 2030 consistent à réduire de 90 % le nombre de décès dus à la tuberculose et à faire reculer de 80 % l’incidence de la maladie nombre de nouveaux cas par an pour 100 000 habitants par rapport à 2015. Les objectifs intermédiaires pour 2020 sont les suivants réduction de 35 % du nombre de décès dus à la tuberculose et baisse de 20 % de l’incidence de la maladie. La stratégie prévoit également un objectif intermédiaire pour 2020 selon lequel personne, parmi les malades de la tuberculose et leurs familles, ne devrait supporter de coûts catastrophiques liés à la déclaration politique issue de la réunion de haut niveau des Nations Unies comprend quatre nouvelles cibles mondiales traiter 40 millions de personnes atteintes de tuberculose dans la période de 5 ans allant de 2018 à 2022 ;administrer un traitement préventif à au moins 30 millions de personnes présentant une infection tuberculeuse latente dans la période de 5 ans allant de 2018 à 2022 ;mobiliser au moins 13 milliards de dollars des États-Unis par an pour favoriser l’accès universel au diagnostic, au traitement et à la prise en charge de la tuberculose d’ici à 2022 ;mobiliser au moins 2 milliards de dollars des États-Unis par an pour la recherche sur la donner suite aux demandes formulées dans la déclaration politique L’OMS a mis au point et publié un cadre de responsabilisation multisectorielle pour la tuberculose en 2019. L’Organisation aide les pays à adapter et à utiliser ce cadre afin de concrétiser les engagements pris et de suivre, communiquer et évaluer les progrès accomplis, avec un encadrement de haut niveau et la participation de tous les secteurs concernés, de la société civile et d’autres parties 2020, un rapport de situation du Secrétaire général des Nations Unies à l’intention de l’Assemblée générale a été préparé et publié avec l’appui de l’ de haut niveau pour la responsabilisation multisectorielle comprend par exemple des initiatives prises par les présidents ou chefs d’État pour mettre fin à la tuberculose et des mécanismes officiels de participation et de responsabilisation des parties prenantes en Inde, en Indonésie, au Pakistan, aux Philippines et au Viet Nam, ainsi que des campagnes nationales pour accélérer les progrès, comme la campagne Race to End TB ».L’OMS travaille en étroite collaboration avec les pays, les partenaires et la société civile pour intensifier la riposte à la tuberculose. Elle s’emploie à assurer six fonctions essentielles pour contribuer à la réalisation des cibles établies dans la déclaration politique issue de la réunion de haut niveau des Nations Unies, les ODD, la Stratégie pour mettre fin à la tuberculose et les priorités stratégiques de l’OMS jouer un rôle directeur au niveau mondial pour mettre fin à la tuberculose en élaborant des stratégies, en favorisant l’engagement politique et multisectoriel et en renforçant les mécanismes d’examen et de responsabilisation, le plaidoyer et les partenariats, y compris avec la société civile ;orienter le programme de recherche et d’innovation sur la tuberculose et stimuler la production, la traduction et la diffusion des connaissances ;définir des normes en matière de prévention et de prise en charge de la tuberculose et promouvoir et faciliter leur application ;élaborer et promouvoir des politiques éthiques fondées sur des données probantes pour la prévention et la prise en charge de la tuberculose ;veiller à ce qu’un soutien technique spécialisé soit fourni aux États Membres et aux partenaires, en collaboration avec les bureaux régionaux et aux bureaux de pays de l’OMS, jouer le rôle de catalyseur de changement et mettre en place des capacités durables ;suivre la situation de l’épidémie de tuberculose, ainsi que des progrès accomplis dans le financement et la mise en œuvre des interventions aux niveaux mondial, régional et national, et en rendre compte.
Des milliers de feux ravagent en permanence notre planète. Des incendies qui n'épargnent aucun pays, riche ou pauvre, et qui sont souvent dus à des pratiques vous intéressera aussiLes milliers de points rouges affichés sur cette carte représentent chacun un incendie en cours. Cette image, captée le 22 août 2018 par les satellites de la mission Worldview, Earth Observing System Data and Information System EOSDIS se base sur la température du sol enregistrée grâce au rayonnement à ce que l'on pourrait penser, la plupart de ces impressionnants incendies sont volontaires. En Afrique, qui apparaît clairement en rouge sur la carte, les fermiers les allument délibérément pour se débarrasser de la végétation afin de dégager le terrain pour de nouvelles cultures ou des pâturages. Hélas, si les incendies favorisent en effet la fertilisation du sol, ils dégradent gravement la qualité de l'air. Au Brésil, des milliers d'hectares de forêt amazonienne partent ainsi chaque année en fumée pour laisser place à l'élevage de bovins et à l'extraction minière. Des incendies qui tournent souvent au désastre par manque de contrôle et qui sont responsables d'un tiers de 4,5 millions d'hectares de forêt amazonienne partis en fumée en 2017 au Brésil, d'après le Global Forest Watch. Cette pratique s'additionne à celle des feux de décharge, dans un pays où la gestion de déchets est défaillante. Sécheresse, chaleur, mauvaise gestion des forêts, étalement urbain le cocktail explosifDans les autres régions du globe, les zones en rouge sont principalement dues aux incendies de forêt. Le Chili, qui connaît depuis plusieurs années une sécheresse persistante et des températures élevées est particulièrement touché. Les incendies sont aggravés par le fait que de nombreuses espèces natives ont été remplacées par des eucalyptus et des pins pour la production de bois et de papier. Or, leurs feuilles et épines contiennent des résines hautement inflammables, qui propagent les flammes une fois tombées au sol, comme l'a révélé une étude publiée dans PLoS One, le 22 août dernier. L'Australie est elle aussi victime de graves incendies, favorisés par l'extension urbaine, et ce alors que nous sommes là -bas en plein cartographie mondiale des incendies en temps réel grâce aux satellitesArticle de l'ESA publié le 03/06/2006Depuis une dizaine d'années, les satellites de l'ESA surveillent en continu les incendies dévastant la surface de la Terre. Ces données servent à établir des cartes mondiales des incendies et les utilisateurs peuvent désormais y accéder en ligne - pratiquement en temps réel - par l'intermédiaire de l'Atlas Mondial des Incendies ATSR de l' s'agit du premier atlas mondial répertoriant les événements sur plusieurs années. Il fournit des données environ six heures après leur acquisition et constitue une ressource scientifique importante car les incendies jouent un rôle important dans la modification de l' des feux répertoriés en 2005 à la surface du globe crédit ESA L'atlas est une ressource excellente donnant un nouvel aperçu de la Terre, jusqu'alors impossible à obtenir, et permettra certainement aux écologistes d'aborder des questions récentes et anciennes sur le rôle des incendies dans la restructuration du monde naturel », a déclaré Matt Fitzpatrick du Département d'écologie et de biologie évolutive de l'Université du de 50 millions d'hectares de forêts brûlent tous les ans et ces incendies ont des répercussions significatives sur la pollution atmosphérique mondiale, avec la combustion de la biomasse contribuant aux bilans globaux des gaz à effet de serre comme le dioxyde de carbone. Au cours de ces dix dernières années, les chercheurs ont compris qu'il était important de surveiller ce cycle. De fait, les données de l'Atlas Mondial des Incendies sont généralement consultées dans le cadre d'études quantification des incendies est d'une grande importance pour les études actuelles sur les changements de climat. Par exemple, en 1998, El Niño a contribué à propager les incendies sur l'île de Bornéo qui ont dégagé jusqu'à 2,5 milliards de tonnes de carbone dans l'atmosphère, soit l'équivalent de la totalité des émissions carboniques de l'Europe pendant cette même de 200 utilisateurs enregistrés ont accès à l'Atlas Mondial des Incendies. Les données sont utilisées en Europe, Asie, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Afrique et Australie pour des études portant sur la chimie atmosphérique, les modifications d'utilisation des sols, l'étude des changements écologiques à l'échelle planétaire, la prévention et la gestion des incendies ainsi que la Harvard, l'Université de Toronto, le Centre National pour la RechercheAtmosphèrique NCAR et la NASA, entre autres, ont utilisé ces données dans des études qui ont fait l'objet de publications. À ce jour, plus de 100 communications scientifiques basés sur les données de l'Atlas Mondial des Incendies ont été les cartes, l'atlas indique l'heure, la date, la longitude et la latitude des points chauds. La base de données couvre les années comprises entre 1995 et aujourd'hui, mais la couverture annuelle complète a seulement commencé en données de l'atlas s'appuient sur les résultats des radiomètres à balayage le long de la trace de première ATSR et seconde génération AATSR, qui ont été lancés sur les satellites de l'ESA ERS-2 en 1995, et Envisat en radiomètres jumeaux font office de thermomètres du ciel en mesurant le rayonnement infrarouge thermique pour prendre la température superficielle des terres. La détection des incendies est meilleure la nuit, lorsque les terres environnantes sont plus fraîches. Les températures supérieures à 312º K 38,85 ºC sont classées comme étant des incendies par les ATSR/AATSR, qui sont capables de détecter un feu aussi minime que les torches de sites industriels en raison de leurs températures par ce que vous venez de lire ?
Lapopulation mondiale actuelle est de 7,3 milliards d’êtres humains. Elle continue d’augmenter mais à un rythme moins soutenu que par le passé. Elle devrait croître de 1 milliard d’ici 15 ans et de 1 milliard supplémentaire d’ici 25 ans, pour atteindre 9,7 milliards de personnes en 2050. Selon les projections des variationsLa répartition de la population mondiale est très contrastée. Les fortes densités se concentrent sur quelques grands foyers de peuplement, berceaux des plus grandes civilisations humaines. L'Asie concentre les 3/5e de la population de la planète sur deux foyers principaux l'Asie de l'Est, dont la Chine, et l'Asie du Sud, dont l'Inde. L'Europe est le troisième grand foyer, mais, avec 700 millions d'habitants, assez loin derrière les deux l'opposé, les espaces vides sont très étendus, dans des espaces naturels relativement peu favorables à l'occupation humaine hautes latitudes, déserts, forêts denses… Non que tous ces espaces soient vides d'hommes, mais les conditions naturelles n'ont pas favorisé le développement de civilisations à fortes densités de population.
Ila fallu 200 000 ans pour que notre population mondiale atteigne 1 milliard de personnes, et seulement 200 ans pour atteindre 7 milliards. Quand la population mondiale sera-t-elle au maximum ? Et comment pouvons-nous minimiser notre impact sur les ressources de la Terre, alors même que nous approchons 11 milliards ? Une animation proposée par le Muséum Abattage pour la production agricole, exploitation forestière, feux de forêt, urbanisation et agriculture itinérante, telles sont les cinq causes principales de la déforestation. Un phénomène en progression dans le monde entier selon une étude américaine, parue dans la revue Science, qui présente une carte mondiale de la déforestation, 50 000 km2 de forêts, en moyenne, ont été perdus chaque année dans le monde entre 2001 et 2015. Or la libération de carbone lors des feux de forêt et la diminution de la capacité naturelle des arbres à stocker ce puissant gaz à effet de serre participent à l’augmentation du taux de CO2 dans l'atmosphère. Stopper la déforestation est devenu l’un des enjeux majeurs des politiques climatiques. L’étude parue dans Science est la première analyse s’intéressant aux causes de la déforestation au niveau mondial, explique Paul Leadley, écologue à l’université Paris-Sud. L’organisation mondiale de l’alimentation FAO avait déjà établi des cartes du même genre, mais celles-ci se fondaient sur les statistiques, pas toujours fiables, fournies par les États. Ici, les données proviennent d’images satellitaires. » Parmi les précédents modèles de représentation figure également celui de la Global Forest Watch, une plateforme en ligne qui propose aux internautes une carte interactive de la déforestation. Mais les causes n’y apparaissent pas. Pour réaliser cette carte inédite, les scientifiques américains ont identifié, grâce à Google Earth, cinq profils types de paysages, qu’ils ont associés aux cinq grandes causes de déforestation. Puis un ordinateur a passé au crible les forêts de la planète, via l’imagerie satellitaire, reliant chaque parcelle à l’un de ces profils. Un expert a ensuite vérifié, sur un échantillon représentatif, que la machine avait correctement effectué son travail. On y découvre notamment l’ampleur des pertes forestières liées à l’exploitation de l’huile de palme et du cacao en Asie du sud-est. Une catastrophe écologique largement minimisée par les précédents rapports », pointe Paul Leadley. LA DÉFORESTATION EN 5 CAUSES Analyse des causes de la déforestation, entre 2001 et 2015. En rouge, la part liée à l’industrie agricole ou minière, à la construction, etc ; en jaune, celle due à l’agriculture itinérante ; en vert, à l’exploitation forestière ; en marron, aux feux de forêt ; et, en bleu, à l’ DE © The Sustainability Consortium ; © 2018 université des l’État de l’Arizona et université de l’ % L’AGRICULTURE INTENSIVE, L’INDUSTRIE MINIÈRE, ETC. Les activités agricoles, minières et, plus largement industrielles, sont les principales responsables de la déforestation mondiale. Il s’agit d'abattage non raisonné. La végétation ne va donc pas se régénérer », déplore Paul Leadley. En Amérique du Sud, les arbres sont abattus pour créer des zones de pâturage ; en Argentine et au Brésil, pour planter du soja, qui représente une source importante de nourriture pour le bétail sur le plan mondial. Certaines parties de la forêt amazonienne sont également exploitées à des fins d’extraction minière ou gazière. Toutefois, des mesures ont été prises, notamment par le Brésil, pour protéger les forêts, souligne l’écologue cf notre reportage sur les zones de protection instaurées pour les tribus isolées d’Amazonie. En revanche, en Asie du Sud-Est, la déforestation liée à la culture du palmier à huile et du cacaoyer progresse depuis les années 2000. Le phénomène est d’autant plus inquiétant qu’il affecte des points chauds de biodiversité. » Dans le cadre de l’objectif zéro déforestation 2020 », lancé en 2017 par L’ONG Forest Trends, 450 entreprises agroalimentaires s’étaient engagées à ne pas se fournir en cacao ou en huile de palme issus de zones déforestées d’Asie du Sud-Est. Mais cet objectif est loin d’être atteint, soulignent les auteurs de l’étude. 26 % L’EXPLOITATION FORESTIÈRE Celle-ci concerne principalement l’Europe et l’Amérique du Nord. Elle est liée aux activités de production de papier, de bois de chauffage ou de construction. Son impact est plus ou moins néfaste, nuance le scientifique. Il dépend de la façon dont sont gérées les forêts. En Europe, pratiquement toutes les parcelles boisées sont exploitées, mais en tenant généralement compte de la régénération de la végétation. » Parmi les solutions possibles pour limiter les effets négatifs de l’exploitation forestière, entreprises et consommateurs pourraient veiller à ne plus acheter de bois provenant d’exploitations non respectueuses de la nature. En France, les labels PEFC ou FSC certifient de la bonne exploitation de la forêt. 24 % L’AGRICULTURE ITINÉRANTE Cette pratique agricole, utilisée surtout en Afrique et en Inde, consiste à cultiver une parcelle de forêt, puis à la laisser en friche. Cette méthode de culture traditionnelle, qui utilise le brûlis ou le paillis, est bien plus respectueuse de la végétation que l’agriculture intensive, car elle permet à la forêt de se régénérer », commente Paul Leadley. 23 % LES FEUX DE FORÊT Une bonne part de la déforestation mondiale est liée aux incendies. Les forêts boréales de Russie, du Canada et d’Alaska sont principalement affectées. Ces phénomènes font partie de la régénération naturelle de ces forêts », précise Paul Leadley. Toutefois, les feux de forêt progressent dans d’autres régions du monde. L’Australie, la Suède et la côte ouest des États-Unis ont connu cette année des incendies spectaculaires. Sont-ils liés au réchauffement climatique ? Nous n’avons pas de certitude à ce sujet, mais nous pensons qu'il augmente la fréquence et l’étendue des phénomènes », répond l’écologue de Paris-Sud. MOINS DE 0,6 % L’URBANISATION On entend souvent que cette dernière cause est un facteur majeur de déforestation, mais, globalement, l’expansion des villes ne se fait pas trop au détriment des forêts », avance le scientifique. Les chercheurs ont montré que l’urbanisation était responsable de moins de 1 % de la déforestation mondiale. La région la plus concernée l’Amérique du Nord, avec 2 % de forêts abattues. FicheLa répartition de la population française. La répartition de la population française. publié par emilieb. Site web. Cette activité porte sur une étude de carte. L'élève est amené à observer la carte et à répondre à des questions simples.