LasĂ©curitĂ© est d’abord l’affaire de tous. mardi 14 juillet 2015 Ce matin dans le TĂ©lĂ©gramme, un article fait Ă©cho Ă  l’agression d’une jeune fille, accompagnĂ©e de son petit frĂšre, place GuĂ©rin en dĂ©but de mois ( ici ).
Ah qu’il est bon de recevoir des nouvelles de ceux qu’on aime ! Surtout quand Ă©tait sans nouvelle d’un ĂȘtre particuliĂšrement cher depuis longtemps
 Et depuis hier ouf » c’est bon ça va j’ai des nouvelles d’Alexandre BĂ©nalla ! Alors non BĂ©nalla et moi on n’est pas proches mais sans le savoir il m’a apportĂ© tellement de matiĂšre pour Ă©crire mes chroniques que pour moi c’est devenu un proche ! Alors qu’est ce qu’il devient ce cher Alex ? Et bien figurez vous que c’est Marcel Campion, le gentil forain mafieux homophobe qui lui a trouvĂ© du boulot ! BĂ©nalla va devenir consultant sĂ©curitĂ© pour la foire du TrĂŽne ! Ah ben merde alors
 J’en ai entendu des intitulĂ©s d’emploi fictif mais des comme ça c’est balaise non ? J’imagine les rĂ©unions avec Alexandre le consultant sĂ©curitĂ©.. Bon les gars qui dit foire dit foule, qui dit foule dit agitation, qui dit agitation dit danger, qui dit danger dit mobilisation, qui dit mobilisation dit vigilance, qui dit vigilance dit matraque ! RĂšgle n°1 Si vous voyez un rassemblement de plus de 5 personnes vous dispersez, si y a rĂ©sistance vous matraquez RĂšgle n°2 Si vous repĂ©rez des agitateurs, rĂ©action immĂ©diate vous prenez Ă  la gorge et vous exfiltrez une fois le ou les individus exfiltrĂ© vous revenez Ă  la rĂšgle n°1 vous matraquez ! RĂšgle n°3 Vous apprenez les rĂšgles n°1 et n°2 par cƓur ! En cas de problĂšme - du style dĂ©cĂšs d’un individu matraquĂ© - suite Ă  l’application de la rĂšgle n°1 vous venez me voir immĂ©diatement lĂ  je vous remettrais un passeport dit diplomatique » et vous pratiquez sur vous-mĂȘme la rĂšgle n°2 l’exfiltration » Bon ben voilĂ  on le sait, on ne sera pas du tout en sĂ©curitĂ© Ă  la foire du trĂŽne ! A tout moment on pourra se faire taper sur la gueule ! Autre sujet tout aussi grave ! Vous vous en souvenez surement en dĂ©but d’annĂ©e deux accidents d’avion avaient secouĂ© l’univers des transports aĂ©riens. Deux accidents dans lesquels Ă©taient impliquĂ©s des Boeing 737 Max ! Interdiction de voler pour ces appareils depuis mi-mars, gros manque Ă  gagner pour les compagnies et le constructeur, du coup le constructeur a multipliĂ© les enquĂȘtes et hier tin nin » l’annonce de Boeing On a trouvĂ© le problĂšme de nos 737 y a un problĂšme sur les ailes » Allo ? Un problĂšme sur les ailes ! Tu construits des avions, tu vĂ©rifies pas hyper bien les ailes et tu te dis c’est ok ils peuvent voler » et faut deux accidents pour que tu vĂ©rifies que les ailes de ton avion sont OK ! La suite Ă  Ă©couter et Ă  retrouver en vidĂ©o !
Croyezmoi quand je dis que la sĂ©curitĂ© est «l'affaire de tous». Nous pouvons Ă©conomiser beaucoup de vies et de ressources si tout le monde donne une partie de sa part dans une organisation, de haut en bas et de bas en haut. Cela encourage les organisat ‱ Des millions d'Ɠuvres originales, imaginĂ©es par des artistes indĂ©pendants. Trouvez votre bonheur.
Le CDG38, Ă©tablissement public au service de tous les employeurs territoriaux de l’IsĂšre est un centre de ressources et d’expertise pour les Ă©lus, les gestionnaires de collectivitĂ©s locales, les agents territoriaux et le grand public. Nous rĂ©pondons aux questions rĂšglementaires, et nous apportons un conseil en gestion des ressources humaines. Nous assurons le secrĂ©tariat d’instances CAP, CTP, comitĂ© mĂ©dical
 et animons le dialogue social. Nous organisons des concours, favorisons la mobilitĂ©, et promouvons les mĂ©tiers territoriaux. Nous sommes aux cĂŽtĂ©s des agents et des employeurs en matiĂšre de santĂ©, sĂ©curitĂ© et qualitĂ© de vie au travail, via nos Ă©quipes pluri-disciplinaires et nos contrat-groupes.
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Bonjourà tous, Cet exercice a pour but de vous accompagner dans l'analyse de la consigne du sujet. Il vient compléter le document pdf mis en ligne sur la base (Dissertation n°1: la sécurité est-elle l'affaire de tous?, semaine 1: analyse du sujet). Vous trouverez dans un premier temps une question vous invitant à réfléchir aux différentes composantes de la

Et de trois ! Le dĂ©putĂ© Thomas Gassilloud poursuit sa sĂ©rie de dĂ©bats publics, dans la 10e circonscription de Lyon. Objectif donner la parole aux citoyens et renforcer le lien entre le local et le national ». AprĂšs l’éducation Ă  Saint-Genis-Laval puis le numĂ©rique Ă  CharbonniĂšres-les-Bains, le comitĂ© de circonscription animĂ© par Fabienne Tirtiaux, a rĂ©uni la population Ă  l’espace culturel Éole, Ă  Craponne. À l’ordre du jour la sĂ©curitĂ© au quotidien, un thĂšme sensible et ĂŽ combien d’actualitĂ©, aprĂšs cette terrible attaque au couteau perpĂ©trĂ©e quelques jours auparavant Ă  Paris. Si la rĂ©union citoyenne a Ă©tĂ© suivie, dans la salle, par quelque 160 personnes, le dĂ©bat continue en ligne, sur la page facebook de Thomas Gassilloud oĂč l’enregistrement complet a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© visionnĂ© prĂšs de 800 fois. Face Ă  la menace terroriste omniprĂ©sente, la sĂ©curitĂ© nationale est devenue l’une des prioritĂ©s de l’État. Pas un hasard si le ministĂšre de l’IntĂ©rieur est l’un des rares Ă  voir son budget augmenter +9%, tient Ă  prĂ©ciser, d’emblĂ©e, Thomas Rudigoz, dĂ©putĂ© du RhĂŽne et membre de la commission des lois. Tout en rappelant, au passage, la rĂ©activitĂ© du gouvernement en la matiĂšre, avec notamment la mise en application de la loi Silt SĂ©curitĂ© intĂ©rieure et lutte contre le terrorisme qui a fait suite Ă  l’État d’urgence prorogĂ© jusqu’en novembre dernier, un Ă©tat exceptionnel qui ne pouvait plus durer », explique l’élu ; le vote d’un autre texte sur l’assignation Ă  rĂ©sidence et les visites domiciliaires » et la dĂ©cision de recruter, d’ici Ă  la fin du mandat d’Emmanuel Macron, 10 000 hommes et femmes pour complĂ©ter les effectifs de police et de gendarmerie. Depuis 15 mois, 22 attentats ont Ă©tĂ© dĂ©jouĂ©s », souligne-t-il. Pas de quoi, pourtant, rassurer les citoyens. Dans la salle, l’un d’eux s’interroge sur le nombre de fichĂ©s S »  Cinq cents, souffle-t-on, dans le dĂ©partement du RhĂŽne. A la tribune, le maire de Craponne, Alain Galliano, vice-prĂ©sident de la mĂ©tropole de Lyon, serait d’avis d’en connaĂźtre les identitĂ©s sur sa commune de 12 000 habitants. Je comprends cette demande, c’est un vrai dĂ©bat », reconnaĂźt Thomas Rudigoz. Reste Ă  savoir comment une telle rĂ©vĂ©lation serait apprĂ©hendĂ©e par un Ă©lu, compte tenu des peurs qu’elle peut susciter. Le risque Ă©tant qu’un ou une maire un peu fĂ©brile, panique et crĂ©e plus d’émois et d’inquiĂ©tudes dans sa commune », relĂšve-t-il. Comme le rappelle le colonel Thibault Lagrange, commandant du groupement de gendarmerie du RhĂŽne, un fichĂ© S est une personne signalĂ©e dans un cadre prĂ©ventif du risque terroriste ». Par dĂ©finitions, les fichĂ©s S peuvent, par leur activitĂ© ou leur entourage, reprĂ©senter un risque de trouble Ă  l’ordre public ou une atteinte Ă  la sĂ»retĂ© de l’État. Dans ce fichier, on estime la dangerositĂ© d’humains, or cette estimation est humaine et n’est donc, par essence, pas parfaite », tempĂšre le colonel. A la question de rendre public un tel fichier, Thomas Gassilloud se montre, avec le recul, dubitatif, l’intĂ©rĂȘt de la fiche S Ă©tant que l’individu ne sait pas qu’il est sous surveillance », commente-t-il. A l’échelle locale, Olivier Rigal, commandant de la compagnie de gendarmerie de l’Arbresle – l’une des deux compagnies avec celle de Givors, dans la 10e circonscription de Lyon qui compte 6 brigades territoriales – dresse un Ă©tat des lieux de la dĂ©linquance. MĂȘme si le territoire reste plutĂŽt privilĂ©giĂ©, l’insĂ©curitĂ© se traduit par une dĂ©linquance au spectre trĂšs large », de la petite dĂ©linquance du quotidien Ă  la fermeture, il y a trois ans, d’une mosquĂ©e salafiste sur le secteur de l’Arbresle, rouverte depuis avec un imam modĂ©rĂ©. En 2017, le nombre d’interventions variait selon les communes, entre 800 Ă  Saint-Laurent-de-Chamousset, et 2160 Ă  Saint-Genis-Laval, avec, un point noir dans l’Ouest lyonnais les cambriolages ». Le maire de Craponne, le reconnaĂźt Les incivilitĂ©s, la petite dĂ©linquance, les cambriolages ou les vols Ă  l’arrachĂ©e, arrivent chez nous depuis une quinzaine d’annĂ©es », lĂąche-t-il, amer. Dans ce contexte, la commune a notamment investi 400 000 € pour rapprocher sa police municipale dans le centre-ville et a fait installer 16 camĂ©ras fixes et 4 mobiles. Nous travaillons Ă©troitement avec la gendarmerie », confirme le maire. Le commandant Rigal l’assure la vidĂ©oprotection apporte une aide dans la rĂ©solution des affaires », pour repĂ©rer par exemple un numĂ©ro d’immatriculation. Pour autant, de l’avis des intervenants, la sĂ©curitĂ© reste l’affaire de tous ». Aussi, la gendarmerie lance-t-elle un appel, par la voix du commandant de la brigade de l’Arbresle On a besoin de la population vos yeux et vos oreilles nous permettent d’orienter nos recherches, insiste-t-il. N’hĂ©sitez pas Ă  nous contacter ». Le mieux Ă©tant d’appeler directement le 17, lorsque vous repĂ©rez un comportement suspect ». Les dispositifs de participation citoyenne c’est le cas Ă  Craponne, comme le rappelle le maire, avec 20 rĂ©fĂ©rents dans 9 quartiers de la commune » entrent pleinement dans cette dĂ©marche. Nous sommes aussi sur le point de crĂ©er, Ă  dĂ©faut d’un Conseil local de sĂ©curitĂ© et de prĂ©vention de la dĂ©linquance CLSPD, un comitĂ© de veille de la dĂ©linquance avec toutes les parties prenantes dont une synergie entre la police municipale et la gendarmerie pour assurer le bien vivre ensemble », poursuit M. Galliano. Le lancement rĂ©cent de la police de sĂ©curitĂ© du quotidien par GĂ©rard Collomb, ministre de l’IntĂ©rieur, a pour objectif de recrĂ©er cette proximitĂ© avec la population, les commerçants, les Ă©lus, les partenaires, bailleurs sociaux et autres
 », explique Thomas Rudigoz. Dans le RhĂŽne, en zone police, le quartier des Minguettes, Ă  VĂ©nissieux, et celui de Mermoz, Ă  Lyon, ont Ă©tĂ© retenus par le gouvernement, ainsi que quelques autres dans le 8e arrondissement. Des quartiers avec de grosses problĂ©matiques de dĂ©linquance la volontĂ© est de renforcer ici, les effectifs de police avec, aussi, des moyens supplĂ©mentaires en matiĂšre d’équipements modernes pour l’ensemble des Ă©quipages. » Les bailleurs sociaux se doivent, eux aussi, de jouer un rĂŽle actif, pour prĂ©server la tranquillitĂ© de nos rĂ©sidents et leur assurer un environnement paisible », tĂ©moigne CĂ©line Naquin, chef du projet sĂ»retĂ© Ă  Lyon MĂ©tropole Habitat. A l’échelle du Grand Lyon, quatorze bailleurs se mobilisent au sein d’un dispositif visant Ă  amĂ©liorer la tranquillitĂ© de leurs locataires. Cela passe par la mise en place d’agents de mĂ©diation et d’agents de sĂ©curitĂ© dans des rĂ©sidences ciblĂ©es ; des agences de proximitĂ© ; des actions de dĂ©veloppement social et de prĂ©vention », Ă©numĂšre-t-elle. Mais aussi des rĂ©amĂ©nagements, dans les immeubles, des halls traversants ou des recoins plus ou moins sombres
 Dans le Grand Lyon, 4408 intervention ont ainsi Ă©tĂ© menĂ©es l’an dernier. Mais tout cela a un coĂ»t », reconnaĂźt Mme Naquin. En tant qu’acteurs de la sĂ©curitĂ©, les bailleurs sociaux prĂ©conisent des Ă©volutions lĂ©gislatives. Nous avons demandĂ© que le dĂ©lit d’occupation des parties communes, passible de six mois d’emprisonnement et de 7500 € d’amendes, trĂšs difficile Ă  caractĂ©riser et donc Ă  appliquer, bascule en contravention la sanction serait immĂ©diate dĂšs lors que les forces de l’ordre constateraient l’infraction », Ă©voque-t-elle. Autre proposition des bailleurs sociaux obtenir un droit de rĂ©siliation du bail pour des locataires investis dans des trafics de stupĂ©fiants, dans leur rĂ©sidence ou dans leur logement ; ainsi que la possibilitĂ© de dĂ©poser une plainte en cas d’agression d’un collaborateur. Or, aujourd’hui, ils ne le font pas car ils ont peur des reprĂ©sailles, et les bailleurs ne peuvent pas se substituer Ă  eux car ils ne sont pas les victimes directes ». Et de proposer, dans la foulĂ©e, la mise en place de rĂ©fĂ©rents bailleurs » auprĂšs des tribunaux afin de mieux suivre les plaintes, leurs suites judiciaires et de traiter avec eux sur des secteurs relativement sensibles ». Le commandant Rigal se montre pragmatique. Deux tiers des infractions n’ont pas d’auteurs identifiĂ©s. Sur le tiers des infractions avec auteurs identifiĂ©s, moins de la moitiĂ© font l’objet de poursuites. Sur la moitiĂ© des auteurs d’infractions identifiĂ©s et poursuivis, moins de 10% sont incarcĂ©rĂ©s. Des rĂ©ponses alternatives sont apportĂ©es pour tout le reste. Et malgrĂ© tout, les prisons sont pleines
 » De lĂ  Ă  imaginer des stages de rééducation au bon civisme », selon l’expression de Thomas Gassilloud
 Certes, les tribunaux peuvent condamner les petits dĂ©linquants Ă  des travaux d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Mais les procĂ©dures sont longues, avec le sentiment, pour la population, que rien ne se passe », souffle quelqu’un dans l’assistance
 Peut-ĂȘtre faudrait-il simplifier tout cela et permettre aux maires d’infliger des travaux d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral ? », s’interroge Thomas Gassilloud. Le Cdt Rigal rappelle au passage la comparution immĂ©diate », une des rares procĂ©dures judiciaires dans laquelle on a une quasi-immĂ©diatetĂ© de la sanction pĂ©nale par rapport Ă  la commission des faits. Existe aussi le rappel Ă  la loi par officier de police judiciaire le magistrat nous prescrit de rappeler Ă  l’intĂ©ressĂ© ce qu’il encourt en cas de rĂ©cidive ». C’est cette nouvelle forme de petite dĂ©linquance qui crĂ©e ce sentiment d’insĂ©curitĂ© et qui pourrit la vie au quotidien, conclut le maire de Craponne. Comment ramener les auteurs de ces actes sur le droit chemin ? Je suis prĂȘt Ă  leur tendre la main, mais cette main, ils n’en veulent pas ! On n’en peut plus ! » Le service national universel, appelĂ© de ses vƓux par le PrĂ©sident de la RĂ©publique, serait-il l’une des solutions, glisse le dĂ©putĂ© Thomas Gassilloud. Ce sera le mot de la fin
 et peut-ĂȘtre l’objet d’un prochain dĂ©bat ? Mathieu Girandola Les autres questions de l’assistance Comment combattre les armes blanches ? Comment interdire l’arme blanche, alors qu’on en a tous, chez soi ? Le lĂ©gislateur, dans sa grande sagesse, a posĂ© le principe du trouble Ă  l’ordre public », rĂ©pond Olivier Rigal, commandant de la compagnie de gendarmerie de l’Arbresle. En matiĂšre de sĂ©curitĂ© sur internet, comment Ă©viter les escroqueries ? Le thĂšme a fait l’objet d’un prĂ©cĂ©dent dĂ©bat public. Le colonel Lagrange met en garde Internet est un espace de vie exactement comme le monde rĂ©el. Chaque fois que vous vous posez une question sur Internet, demandez-vous comment vous feriez dans le monde rĂ©el. » Autrement dit, ne faites pas sur Internet ce qu’il ne vous viendrait mĂȘme pas Ă  l’idĂ©e de faire dans la vie rĂ©elle
 comme, par exemple, publier des photos de famille dans un magazine ! sic L’état d’urgence a-t-il permis de rĂ©duire le nombre d’armes lourdes circulant en ville ? Des perquisitions ont amenĂ©, dans une minoritĂ© de cas, Ă  la dĂ©couverte d’armes, dont des armes lourdes », reconnaĂźt Olivier Rigal. Quant au trafic d’armes, il se fait Ă  bas bruit, Ă  bas niveau, Ă  trĂšs faible volume on doit saisir en France, une centaine de kalachnikovs par an, c’est relativement faible comparativement au nombre d’armes saisies, entre 5 et 8 000. Le trafic d’armes lourdes est trĂšs difficile Ă  entraver. » Quelle est l’efficacitĂ© des camĂ©ras de vidĂ©oprotection ? La vidĂ©o-protection fonctionne de deux façons, rĂ©pond Olivier Rigal. La premiĂšre avec un opĂ©rateur derriĂšre qui est capable de renseigner Ă  l’instant T, quand les faits se produisent, et donc d’alerter le coĂ»t est important. Ce systĂšme fonctionne trĂšs bien pour les incivilitĂ©s. La deuxiĂšme façon de travailler est celle de l’enregistrement. On ne pourra pas procĂ©der Ă  une interpellation immĂ©diatement mais on va pouvoir rĂ©cupĂ©rer les Ă©lĂ©ments de preuves qui permettront de confondre l’individu et de le sanctionner pĂ©nalement, et cela fonctionne trĂšs bien. Les camĂ©ras sont un apport trĂšs important dans la rĂ©solution d’affaires. » Beaucoup d’automobilistes roulent sans permis et ne sont punis que d’une amende de 800€
 La justice peut prononcer une confiscation du vĂ©hicule, note le commandant Rigal. Mais la sanction effectivement n’est pas immĂ©diate et l’auteur de ce dĂ©lit repartira, avec une convocation en justice pour une date ultĂ©rieure. Une campagne de la PrĂ©vention routiĂšre essaie en ce moment de sensibiliser ces conducteurs sur les consĂ©quences financiĂšres d’un accident causĂ© en cas de dĂ©faut d’assurance ou de permis c’est une consĂ©quence pĂ©cuniaire Ă  vie. Malheureusement, c’est un message qu’on a du mal Ă  faire passer aux dĂ©linquants routiers qui sont totalement hermĂ©tiques Ă  ce sujet. »

Lutteantiterroriste: «La sécurité est l'affaire de tous» (Philippe) Par Le AFP Publié le 03/11/2017 à 10:06 , Mis à jour le 03/11/2017 à 11:02

Le saviez-vous ? 70% des accidents impliquant un engin de manutention pourraient ĂȘtre Ă©vitĂ©s avec une formation et des mesures de sĂ©curitĂ© adĂ©quates. De ce fait, Manitou Group met la sĂ©curitĂ© de ses utilisateurs au cƓur de ses prioritĂ©s avec deux axes clairement dĂ©finis la prĂ©vention et l’ajout personnalisĂ© de systĂšmes de sĂ©curitĂ© sur ses machines. En 2018, une nouvelle version de la plateforme visant Ă  amĂ©liorer la qualitĂ© de vie au travail des utilisateurs, est lancĂ©e. L’accent est alors portĂ© sur la sensibilisation et la sĂ©curitĂ© avec la dĂ©marche Reduce Risks. Les objectifs ? Orienter les utilisateurs dans leur choix d’équipements et les conseiller sur une utilisation sĂ©curisĂ©e des machines au quotidien. Pour y parvenir, un important dispositif d’informations est mis Ă  disposition, via une bibliothĂšque multimĂ©dia composĂ©e de prĂšs de 300 vidĂ©os, de notices d’instruction, posters de prĂ©vention, conseils de sĂ©curitĂ© et de maintenance. ParallĂšlement, des systĂšmes de sĂ©curitĂ© spĂ©cifiques sont créés pour s’adapter aux besoins et contraintes de chaque client en fonction de son environnement de travail. Chez Manitou Group, l’entitĂ© Solutions SpĂ©ciales est dĂ©diĂ©e aux demandes particuliĂšres de l’ensemble de ces utilisateurs, tout marchĂ© et toute application confondus. Les Ă©quipes Ă©tudient, conçoivent et produisent des machines sur mesure. L’expertise de notre service Solutions SpĂ©ciales crĂ©e une rĂ©elle valeur ajoutĂ©e dans la rĂ©alisation des projets de nos Cuvelier, Manager Solutions SpĂ©ciales De nombreuses rĂ©alisations augmentent ainsi le niveau de sĂ©curitĂ© sur les machines systĂšme anti-incendie, camĂ©ra de recul permettant la dĂ©tection de piĂ©tons, limiteur de vitesse, fonction anti-dĂ©marrage lorsque la ceinture de sĂ©curitĂ© n’est pas bouclĂ©e, ou encore ceinture trois points pour limiter les risques en cas d’accidents, etc. “L’expertise de notre service Solutions SpĂ©ciales crĂ©e une rĂ©elle valeur ajoutĂ©e dans la rĂ©alisation des projets de nos clients, explique Laurent Cuvelier, manager Solutions SpĂ©ciales. Pour certaines adaptations spĂ©cifiques, Manitou Group propose Ă©galement, au sein de notre centre de formation basĂ© Ă  Ancenis, des formations aux techniciens de notre rĂ©seau de concessionnaires ou aux utilisateurs finaux, pour une meilleure prise en main des machines, toujours dans un souci de sĂ©curitĂ©. L’étendue du rĂ©seau de distribution dans le monde entier, s’appuyant sur une documentation technique dĂ©diĂ©e propre aux spĂ©cificitĂ©s des Ă©quipements et rĂ©pondant aux normes et obligations locales, est trĂšs importante pour l’accompagnement aprĂšs-vente des utilisateurs sur le terrain. Nous attachons aussi beaucoup d’importance Ă  la maintenance des piĂšces spĂ©cifiques avec un dĂ©lai d’approvisionnement toujours plus rĂ©duit, afin de ne pas pĂ©naliser l’activitĂ© de nos clients et leurs conditions de travail. La sĂ©curitĂ© et la santĂ© des utilisateurs est notre prioritĂ©, et surtout l’affaire de tous.” AccĂ©der au site

DĂšsdĂ©cembre, Ă  la suite de la campagne de sensibilisation Ă  la sĂ©curitĂ©, tout comportement jugĂ© « dangereux » aux abords des boucles d’autobus et des emprises ferroviaires, et ce, sur tout le rĂ©seau d’exo, sera passible d’un constat d’infraction. La sĂ©curitĂ© est l’affaire de tous et exo en fait une mission.
Accueil / A la une / Saint-Genis des Fontaines la sĂ©curitĂ© est l’affaire de tous FrĂ©dĂ©ric RĂ©gnier, responsable de la police municipale ; Nathalie Regond-Planas, maire de Saint-Genis des Fontaines et le major Walter Lens, commandant de la brigade de Gendarmerie nationale de Saint-Genis des Fontaines / 4 octobre 2021 A la une, Territoires Samedi 2 octobre, plus d’une trentaine de Saint-Genisiens, dont de nombreux dĂ©lĂ©guĂ©s de quartier et Ă©lus, ont rĂ©pondu prĂ©sent Ă  l’invitation lancĂ©e par Nathalie Regond-Planas, maire de Saint-Genis des Fontaines, et l’équipe municipale, pour une rĂ©union de prĂ©sentation du dispositif de Participation citoyenne. Le major Walter Lens, commandant de la brigade de Gendarmerie nationale de Saint-Genis des Fontaines, Ă©tait aux manettes de cette sĂ©ance, avec l’appui de FrĂ©dĂ©ric RĂ©gnier, responsable de la police municipale. Tous deux reprĂ©sentent autant de corps qui travaillent au quotidien en Ă©troite collaboration pour assurer la sĂ©curitĂ© de tous. Walter Lens a rappelĂ© que le dispositif de participation citoyenne est une dĂ©marche de sĂ©curitĂ© globale et solidaire. Celle-ci implique la commune, l’Etat et les forces de sĂ©curitĂ©, Ă  savoir la Gendarmerie nationale. Elle consiste Ă  sensibiliser les habitants en les associant Ă  la protection de leur environnement. » Pour cela, les Saint-Genisiens doivent adopter une attitude vigilante, prendre le rĂ©flexe d’informer les forces de l’ordre en cas de doute ou d’un constat de comportement suspicieux. Mais attention, il est hors de question pour eux de se substituer Ă  l’action de la gendarmerie. Une telle dĂ©marche pourrait les mettre dans une situation Ă  risque. Vous devez capter une information, essayer de rĂ©cupĂ©rer un maximum de dĂ©tails et ensuite appeler le 17. La gendarmerie s’accaparera alors du dossier » prĂ©cise Walter Lens Ă  l’auditoire avant de dĂ©tailler quelques comportements ou rĂ©flexes Ă  adopter par les rĂ©fĂ©rents pour qu’ils optimisent leur travail. Dans le cadre de ce dispositif, la Gendarmerie nationale compte s’appuyer sur les dĂ©lĂ©guĂ©s de quartier qui ont Ă©tĂ© installĂ©s il y a quelques mois par la municipalitĂ© actuelle. Mais toute bonne volontĂ© est la bienvenue. En effet, plus le maillage de rĂ©fĂ©rents et d’habitants, qui sont les yeux et les oreilles de leur quartier, sera dense, plus le systĂšme sera efficace. Enfin, cet engagement renforcera les solidaritĂ©s de voisinage en crĂ©ant ou recrĂ©ant du lien social. Il renversera ainsi le sentiment d’insĂ©curitĂ© en rassurant les citoyens et dissuadant les dĂ©linquants potentiels. » Toute personne souhaitant obtenir plus d’informations ou intĂ©grer le dispositif de Participation citoyenne peut se rapprocher de la police municipale au 06 07 25 76 04.

LasĂ©curitĂ© au travail est l’affaire de tous. Publication: 01.06.2018 . Chaque accident sur le lieu de travail est un accident de trop, a fortiori s’il est possible de l’éviter par la prĂ©vention et par un comportement adĂ©quat. C’est pourquoi Honegger investit depuis de nombreuses annĂ©es dans la sĂ©curitĂ© au travail. Elle concerne de la mĂȘme façon les

Ali Kahlane plaide pour "La prise en compte de la cyber sĂ©curitĂ© par l'ensemble des acteurs, au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen. "A travers le monde, pas une seule entreprise n’est Ă  l’abri d’une cyber-attaque. En quoi consiste cette menace ?Une cyberattaque est un acte de malveillance qui peut cibler diffĂ©rents dispositifs informatiques. Cela peut ĂȘtre des ordinateurs, des serveurs ou toute intelligence matĂ©rielle et numĂ©rique tels que les smartphones ou tout objet connectĂ© Ă  Internet ou pas d’ailleurs. Il existe en fait quatre types de risques ou menaces la cybercriminalitĂ©, la dĂ©stabilisation, l’espionnage et le sabotage. Ces cyber risques affectent directement ou indirectement aussi bien les particuliers que les administrations et les et son pendant visible, le World Wide Web qui a beaucoup Ă©voluĂ© au fil des ans, n’est plus le gentil rĂ©seau que l’on connaissait Ă  ses dĂ©buts. TrĂšs vite de nombreux mĂ©chants personnages ont jouĂ© sur ses vulnĂ©rabilitĂ©s pour attaquer les ordinateurs et tout ce qui s’y connecte. Dans un premier temps c’était surtout pour rĂ©cupĂ©rer des donnĂ©es sensibles auprĂšs d’utilisateurs imprudents, c’était la plus commune des menaces. Dans la plupart du temps, tout cela se faisait sans que la victime s’en rende compte, jusqu'Ă  ce qu'il soit trop tard. Mais ça c’était avant. 60% des problĂšmes de cybersĂ©curitĂ© dans l'entreprise, dans le monde viennent de l'intĂ©rieurComment ces pirates de l’informatique arrivent-ils Ă  s’infiltrer aussi facilement dans l’entreprise via le net?L’Internet est un endroit fantastique pour communiquer pour s’informer ainsi que pour travailler. C’est l’une des innovations humaines qui a le plus radicalement changĂ© jusqu’à notre façon de vivre. La quasi totalitĂ© de la population mondiale s’y connecte. Sur les 7,76 milliards d'humains sur Terre en 2020, prĂšs de 61% utilisent Internet alors que 65% d’entre eux possĂšdent un tĂ©lĂ©phone un an, le nombre d'utilisateurs du web s'est accru de prĂšs de 10 %, tandis que la population mondiale n'a progressĂ© que de 1 %. Les rĂ©seaux sociaux ont eux aussi vu leur public s'accroĂźtre et comptent plus de 3,8 milliards d'adeptes, soit 49 % de l'humanitĂ©, dont plus de 50% y est connectĂ© nuit et jour. L’AlgĂ©rie n’est pas en reste avec ces plus plus de 26 millions de connectĂ©s Ă  Internet 59% de la population dont 22 millions utilisent les rĂ©seaux sociaux avec 95% sur de connectĂ©s Ă  Internet et d’utilisateurs actifs sur les rĂ©seaux sociaux est un terrain propice pour tous les maliciels qui grouillent dans le cyber espace tel un capharnaĂŒm de germes et de bactĂ©ries infectieux, numĂ©riques. Tout cela rend tout ordinateur ou dispositif connectĂ© vulnĂ©rable. L’entreprise, encore plus que tout le reste Ă  cause des dĂ©gĂąts que cela peut occasionner en trĂšs peu de temps et Ă  moindre coĂ»t. Nous savons que 60% des problĂšmes de cybersĂ©curitĂ© dans l’entreprise, dans le monde viennent de l’intĂ©rieur. Aucun appareil, aucune entreprise n'est Ă  l'abri!En AlgĂ©rie, cela peut dĂ©passer les 80%. Cette diffĂ©rence de taux est dĂ» au peu de sensibilisation des utilisateurs aux risques qu’ils comportent, Ă  la mĂ©connaissance ou Ă  la non utilisation des outils de protection et de prĂ©caution aussi bien actifs que passifs. Mais pas que car, paradoxalement, l’instabilitĂ© de notre connexion, la faiblesse du dĂ©bit internet associĂ©es au peu de numĂ©risation des entreprises algĂ©riennes concourent Ă  l’augmentation des cyberattaques et exacerbent la vulnĂ©rabilitĂ© de nos entreprises, qui ne sont pas ou trĂšs peu protĂ©gĂ©s face aux maliciels de tout bord. Les menaces de cyberattaques sont rĂ©elles et de plus en plus dangereuses, causant de grands peut aller du fait des employĂ©s indĂ©licats ou imprudents dont la nĂ©gligence est exploitĂ©e pour subtiliser des codes d’accĂšs et compromettre des donnĂ©es ou des systĂšmes d’informations jusqu’aux attaques en bonne et due forme qui seraient effectuĂ©es par des professionnels pour eux-mĂȘmes ou pour le compte de quelqu’un qui les rĂ©tribuent pour se sont les types de menaces auxquelles nous sommes confrontĂ©s Il existe de nombreuses menaces malveillantes pouvant se dĂ©clencher ou s’installer Ă  tout moment et dans toutes les situations. Pour faire simple, on peut identifier au moins une dizaine de types menaces de cyberattaques pouvant ĂȘtre utilisĂ©es soit par des personnes rĂ©elles soit par des robots ou bots ou la combinaison des AlgĂ©rie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la mĂ©connaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutĂ©s Ă  l'instabilitĂ© rĂ©currente du rĂ©seau InternetEn AlgĂ©rie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la mĂ©connaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutĂ©s Ă  l'instabilitĂ© rĂ©currente du rĂ©seau InternetCes menaces sont les spams, Advertisement et Software ou publiciel, le cheval de Troie, les virus, les vers, le phishing ou hameçonnage, les logiciels espions ou spyware, les keyloggers ou encore KeyGrapbber, le pharming et, enfin le logiciel de sĂ©curitĂ© de type Escroc ou Rogue security software Chacune de ces menaces est expliquĂ©e en dĂ©tail dans un encartĂ©.En AlgĂ©rie l’entreprise est-elle outillĂ©e pour rĂ©pondre Ă  ces attaques? Y a-t-il une comprĂ©hension du risque par le chef d’ Loi n° 18-07 du 10 juin 2018 relative Ă  la protection des personnes physiques dans le traitement des donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel qui a Ă©tĂ© promulguĂ©e le 20 janvier 2020, complĂšte et renforce l’arsenal juridique qui existait jusqu’à prĂ©sent pour encadrer le domaine numĂ©rique et ses environnements. C’est un bon dĂ©but pour mettre de l’ordre et mieux protĂ©ger le cyberespace ailleurs, nous devons reconnaĂźtre une carence manifeste de statistiques sur les dommages qu’occasionnent les cyber attaques et les maliciels d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale dans notre pays. Le manque d’implication de l’Etat dans la sensibilisation Ă  la cybersĂ©curitĂ© et surtout l’absence d’une politique nationale de cybersĂ©curitĂ© rend toute analyse difficile. Il appartient maintenant aux institutions interpellĂ©s dans cette Loi de passer Ă  l’action pour mettre en place les dispositions et dispositifs prĂ©vus. Notamment l’installation de celui relatif Ă  la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d’information qui prĂ©voit notamment l'Ă©laboration d'une stratĂ©gie nationale en matiĂšre de sĂ©curitĂ© des SystĂšmes d'information, incluant des investigations numĂ©riques en cas d'attaques cybernĂ©tiques ciblant les institutions nationales y compris les entreprises privĂ©s et publiques. Sans oublier la mise en opĂ©ration le plus rapidement possible de l’AutoritĂ© nationale de protection des donnĂ©es personnelles. Des outils dont l’AlgĂ©rie avait Ă©normĂ©ment besoin pour mieux protĂ©ger et promouvoir son Ă©conomie numĂ©rique une demande en la matiĂšre de la part du chef d’entreprise algĂ©rienne? De mĂȘme les compagnies d’assurance proposent-elles ce produit?Il faut poser la question Ă  un professionnel des Assurances pour la deuxiĂšme partie de votre question. Par contre je peux dire que la confiance et la cybersĂ©curitĂ© sont les deux piliers de l'entreprise de demain. Nous sommes dans une Ă©conomie mondialisĂ©e, il est important de souligner que tout au long de l'histoire Ă©conomique, c'est bien la confiance qui a contribuĂ© Ă  favoriser l'Ă©closion de l'Ă©conomie marchande. C'est donc la prise en compte de la cybersĂ©curitĂ© par l'ensemble des acteurs - au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen - qui assurera l'Ă©mergence de l’économie numĂ©rique au niveau d’un pays. L’AlgĂ©rie n’a jamais Ă©tĂ© aussi proche d’une bonne fenĂȘtre de tir pour rĂ©ussir sa transition recueillis par Meriem Chibane de la revue CNAPubliĂ© la premiĂšre fois par la Revue du Conseil National des Assurances CNA, dans son dossier Cyber-Assurances, Page 18-21, mars 2020. LasĂ©curitĂ©, l’affaire de tous Le partage de la route en toute sĂ©rĂ©nitĂ© est possible ! Il convient d’adopter les bons rĂ©flexes parce qu’à vĂ©lo, la sĂ©curitĂ© n’est pas une option. La FĂ©dĂ©ration française de cyclotourisme vous propose quelques rappels utiles avant de monter sur le vĂ©lo. Cliquez ici pour accĂ©der aux Chaque annĂ©e, le 7 juin, se tient la JournĂ©e mondiale de la sĂ©curitĂ© alimentaire pour souligner l'importance de la sĂ©curitĂ© alimentaire dans la rĂ©alisation du Programme 2030. ©Eleonora Grunge/ 06/06/2019Sans un accĂšs universel Ă  une alimentation saine, nous ne pourrons pas rĂ©aliser les objectifs du Programme 2030. On estime que 600 millions de personnes tombent malades chaque annĂ©e en mangeant des aliments contaminĂ©s par des bactĂ©ries, des virus, des toxines ou des produits chimiques - et 420 000 d'entre elles en meurent. Lorsque la nourriture n'est pas saine, les enfants ne peuvent pas apprendre et les adultes ne peuvent pas travailler. En d'autres termes, le manque d'accĂšs Ă  des aliments sains entrave le dĂ©veloppement humain. Pour souligner le rĂŽle crucial de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments dans la promotion de la santĂ© et l'Ă©limination de la faim, la JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est cĂ©lĂ©brĂ©e chaque annĂ©e le 7 juin. Son but est d'attirer l'attention et d'inspirer des actions pour aider Ă  prĂ©venir, dĂ©tecter et gĂ©rer les risques d'origine alimentaire, contribuant ainsi Ă  la sĂ©curitĂ© alimentaire, la santĂ© humaine, la prospĂ©ritĂ© Ă©conomique, l'agriculture, au tourisme, au dĂ©veloppement durable et permettant l’accĂšs aux marchĂ©s. Si vous produisez, transformez, vendez ou prĂ©parez des aliments, vous avez un rĂŽle Ă  jouer dans leur salubritĂ©. Voici cinq façons de faire la diffĂ©rence en matiĂšre de sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments 1. S'assurer que la nourriture est saine Les gouvernements ont un rĂŽle essentiel Ă  jouer pour garantir que les aliments sont sĂ»rs et nutritifs pour tous. Et ils ont de bonnes raisons de le faire selon la Banque mondiale, les aliments dangereux coĂ»tent - Ă  eux seuls - aux Ă©conomies Ă  revenu faible et moyen environ 95 milliards de dollars EU en perte de productivitĂ© annuelle. Pour aider Ă  rĂ©duire ce chiffre, les dĂ©cideurs peuvent promouvoir des systĂšmes agricoles et alimentaires durables, en encourageant la collaboration entre les secteurs de la santĂ© publique, de la santĂ© animale, de l'agriculture et autres. Les pays peuvent Ă©galement se conformer aux normes internationales Ă©tablies par la Commission du Codex Alimentarius. 2. Cultiver des aliments en toute sĂ©curitĂ© Pour garantir un approvisionnement suffisant en denrĂ©es alimentaires sĂ»res au niveau mondial tout en minimisant leur impact environnemental et en s'adaptant au changement climatique, les producteurs de denrĂ©es alimentaires doivent adopter de bonnes pratiques. Au fur et Ă  mesure que les systĂšmes de production alimentaire se transforment et s'adaptent aux conditions changeantes, les agriculteurs doivent Ă©tudier soigneusement les meilleurs moyens de faire face aux risques potentiels et de s'assurer de la salubritĂ© des aliments. Prendre en compte la santĂ© des plantes et des animaux, par exemple, peut contribuer Ă  combattre la rĂ©sistance aux antimicrobiens et Ă  rĂ©duire ce chiffre de 700 000 personnes qui meurent chaque annĂ©e dans le monde d'infections rĂ©sistantes aux antimicrobiens. La sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments doit ĂȘtre assurĂ©e Ă  chaque Ă©tape de la chaĂźne de valeur - du producteur au consommateur, en passant par le vendeur. A gauche ©Edmund Lowe Photography/ A droite ©Dusan Petkovic/ 3. PrĂ©server la salubritĂ© des aliments Pour les exploitants d'entreprises, les contrĂŽles prĂ©ventifs peuvent rĂ©soudre la plupart des problĂšmes de sĂ©curitĂ© alimentaire. Tous ceux qui participent aux opĂ©rations alimentaires - de la transformation Ă  la vente au dĂ©tail - doivent s'assurer du respect de programmes tels que le SystĂšme d’analyse des risques – points critiques pour leur maĂźtrise HACCP, qui identifie, Ă©value et maĂźtrise les risques importants pour la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments. En plus de rĂ©duire les risques de maladie, les bonnes pratiques de transformation, de stockage et de conservation peuvent Ă©galement permettre de rĂ©duire les pertes aprĂšs rĂ©colte et aider Ă  prĂ©server la valeur nutritionnelle des aliments. Elles permettent aussi aux entreprises de maximiser leur participation Ă  un commerce alimentaire mondial de 1,6 trillion de dollars EU. 4. VĂ©rifier la salubritĂ© des aliments Les consommateurs ont le pouvoir d'exiger des aliments sĂ»rs et sains. Vu la complexitĂ© de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, les consommateurs doivent avoir accĂšs en temps opportun Ă  des renseignements clairs et fiables sur les risques nutritionnels et les risques de maladie associĂ©s Ă  leurs choix alimentaires. Investir dans l’éducation des consommateurs Ă  la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments peut permettre de rĂ©duire les maladies d'origine alimentaire et de rĂ©aliser des Ă©conomies allant jusqu'Ă  dix fois chaque dollar investi. Les consommateurs doivent avoir la capacitĂ© de faire, pour eux-mĂȘmes, des choix alimentaires sains et pour la planĂšte, de soutenir des systĂšmes alimentaires durables. 5. Soutenir ensemble la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments En fin de compte, la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est une responsabilitĂ© partagĂ©e. Les gouvernements, les organismes Ă©conomiques rĂ©gionaux, les organisations des Nations Unies, les agences de dĂ©veloppement, les organisations commerciales, les groupes de consommateurs et de producteurs, les institutions universitaires et de recherche et les entitĂ©s du secteur privĂ© doivent travailler ensemble sur ces questions qui nous concernent tous. La collaboration est nĂ©cessaire Ă  l'Ă©chelle mondiale, rĂ©gionale et locale - entre les secteurs au sein d'un gouvernement et au-delĂ  des frontiĂšres - pour lutter contre les Ă©pidĂ©mies de maladies d'origine alimentaire dans le monde. La sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est essentielle pour promouvoir la santĂ© et Ă©radiquer la faim. Elle pourrait sauver chaque annĂ©e la vie de 420 000 personnes. ©WAYHOME studio/ La salubritĂ© des aliments est essentielle, non seulement pour amĂ©liorer la santĂ© et la sĂ©curitĂ© alimentaire, mais aussi pour prĂ©server les moyens d’existence, le dĂ©veloppement Ă©conomique, le commerce et la rĂ©putation internationale de chaque pays. Les maladies d'origine alimentaire entravent le dĂ©veloppement socio-Ă©conomique en mettant Ă  rude Ă©preuve les systĂšmes de santĂ© et en nuisant aux Ă©conomies nationales, au tourisme et au commerce. Un monde FaimZĂ©ro ne peut ĂȘtre atteint que si les aliments consommĂ©s sont sans danger. A l’occasion de cette JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, soyons, comme chaque jour, reconnaissants pour la salubritĂ© de nos aliments et prenons des mesures pour nous assurer que la sĂ©curitĂ© alimentaire est bien l'affaire de tous. Pour en savoir plus Site web Les normes alimentaires internationales du Codex Alimentarius Site web La FAO et la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments Site web JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments en anglais RĂ©cit L'avenir de l'alimentation FutureofFood dĂ©pend de l'avenir de la sĂ©curitĂ© alimentaire RĂ©cit Si c’est nocif, ce n’est pas un aliment RĂ©cit Codex Alimentarius protĂ©ger la santĂ©, faciliter le commerce
Lasécurité, c'est aussi l'affaire de tous et on ne voit pas pourquoi ça ne serait pas l'affaire des régions. Les Régions n'ont pas vraiment la main sur la sécurité.
InvitĂ© de l’émission “Ça se passe” de l’ORTM, le ministre de la SĂ©curitĂ© et de la Protection civile, le gĂ©nĂ©ral de division Salif TraorĂ©, a rappelĂ© l’importance de la bonne collaboration entre les populations et les forces de l’ordre pour maintenir la sĂ©curitĂ© et la quiĂ©tude. Comme lui, les deux autres invitĂ©s de l’émission, Pr Mamadou SamakĂ© et Dr Mariam Djibrilla MaĂŻga, ont insistĂ© sur la coopĂ©ration civilo-militaire. Mieux impliquer la population dans sa propre sĂ©curitĂ©. C’est la stratĂ©gie privilĂ©giĂ©e par le ministre de la SĂ©curitĂ© et de la Protection civile, gĂ©nĂ©ral de division Salif TraorĂ©. Samedi, au cours de l’enregistrement de l’émission “Ca se passe” de l’ORTM, il a invitĂ© les Maliens Ă  plus d’implication et de collaboration avec les forces de l’ordre pour maintenir la sĂ©curitĂ© dans les villes et les campagnes. Selon lui, depuis plusieurs annĂ©es, son dĂ©partement Ɠuvre pour une police de proximitĂ© efficace. En plus, le ministĂšre a misĂ© sur une bonne collaboration entre la population et les forces de l’ordre avec l’instauration d’un dialogue intra-communautaire et intercommunautaire, l’instauration des journĂ©es nationales de fĂȘte chez les forces de l’ordre pour faciliter le rapprochement avec la population, etc. “Nous devons savoir que les policiers, gendarmes, gardes ou pompiers sont de nos familles. Ils ne viennent pas d’un autre pays. Ce sont des Maliens qui savent que leur bonheur passe par celui de tous les Maliens. Nous sommes conscients des dĂ©fis et des difficultĂ©s, mais nous devons travailler ensemble pour que nos forces soient efficaces”, a-t-il lancĂ©, insistant sur l’importance de l’information. “Nous devons tous jouer notre rĂŽle d’informateur et de vigile. Nous avons des numĂ©ros vert gratuit que tout le monde peut utiliser”, prĂ©cise-t-il. Dans le cadre du plan de sĂ©curisation intĂ©grĂ©, rappelle le gĂ©nĂ©ral, il y a quatre piliers sĂ©curitĂ©, dĂ©veloppement, gouvernance et communication. “ Dans le cadre du dialogue, pour la dĂ©fense et la sĂ©curitĂ© il nous a Ă©tĂ© demandĂ©, Ă  certains endroits prĂ©cis, d’ouvrir des postes de sĂ©curitĂ© et dorganiser des patrouilles dans ses endroits pour rassurer la population. C’est ainsi que des postes ont Ă©tĂ© créés dans la rĂ©gion de Mopti et Ă  SĂ©gou. Beaucoup de choses sont faites, mĂȘme si nous continuerons Ă  rĂ©flĂ©chir. Car, il y a encore des actes d’insĂ©curitĂ© qui cachent tous ces efforts consentis”. [A lire] LE GENERAL DE DIVISION SALIF TRAORE, MINISTRE DE LA SECURITE ET DE LA PROTECTION CIVILE Nos seuls objectifs trouver des ressources et des stratĂ©gies » AprĂšs avoir reconnu les efforts des autoritĂ©s dans le cadre de la sĂ©curisation, Pr Mamadou SamakĂ© et Dr Mariam D. MaĂŻga, ont demandĂ© Ă  la sociĂ©tĂ© civile de pleinement jouer son rĂŽle de veille et d’informateur. “Il y a vraiment le besoin d’une prise de conscience au niveau national pour que tout le monde sache que nous n’avons que ce pays. Nous devons tous accompagner les forces de l’ordre et que ceux-ci aussi travaillent en respectant bien la dĂ©ontologie”, a souhaitĂ© Pr SamakĂ©. “Il faut aussi impliquer tous les leaders, les chauffeurs de taxi, etc, dans le processus d’information de la police”, propose Dr MaĂŻga. L’émission “Ca se passe” est organisĂ©e par l’ORTM chaque mois pour informer les Maliens de l’actualitĂ© et des rĂ©alitĂ©s du pays. Elle est animĂ©e par Mark Coulibaly. 20 octobre 2019
Lasécurité des Français n'est pas l'affaire d'un seul acteur, mais elle repose sur la prise de conscience de tous. L'Etat d'abord, qui
Bonjour Ă  tous, Cet exercice a pour but de vous accompagner dans l'analyse de la consigne du sujet. Il vient complĂ©ter le document pdf mis en ligne sur la base Dissertation n°1 la sĂ©curitĂ© est-elle l'affaire de tous?, semaine 1 analyse du sujet. Vous trouverez dans un premier temps une question vous invitant Ă  rĂ©flĂ©chir aux diffĂ©rentes composantes de la notion de sĂ©curitĂ©. Dans un second temps, vous serez invitĂ©s Ă  classer les parties du cadrage en fonction de leur pertinence au regard de la question du sujet. Bon courage Ă  tous! Conduireen CĂŽte d’Ivoire : la sĂ©curitĂ© est l’affaire de tous. En CĂŽte d’Ivoire, selon les chiffres officiels, le nombre de morts sur les routes est estimĂ© Ă  1 200 par an, le nombre de blessĂ©s Ă  plus de 21 000. Ce bilan doit nous inciter Ă  la prudence la plus absolue au volant et nous conduit Ă  rappeler quelques conseils Paris AFP - Les spĂ©cialistes de la cybercriminalitĂ© se rĂ©unissent cette semaine Ă  Monaco avec pour ambition d'Ă©tendre Ă  l'ensemble de la population les comportements et rĂ©flexes qui permettront de mieux rĂ©sister Ă  des pirates informatiques de plus en plus audacieux. "Se protĂ©ger, ça passe par des rĂšgles", explique Ă  l'AFP le directeur gĂ©nĂ©ral de l'Agence nationale de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. "Il y a des rĂšgles de conception des systĂšmes, des rĂšgles d'administration de ces systĂšmes, des rĂšgles de gouvernance, des rĂšgles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces rĂšgles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sĂ©curitĂ© Ă  100%, mais il n'y a plus grand chose qui passe", estime-t-il. Le propos peut paraĂźtre bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent Ă  se promener dans des systĂšmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, dĂ©tournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. "Au sein des entreprises, il y a Ă©videmment un responsable de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idĂ©e, c'est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersĂ©curitĂ© le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun Ă  un rĂŽle Ă  jouer", souligne-t-il. Y compris l'intĂ©rimaire, gĂ©nĂ©ralement oubliĂ© dans les procĂ©dures, alors qu'il a souvent accĂšs aux systĂšmes. Pas Ă©tonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sĂ©curitĂ© et des systĂšmes d'information soient de moins en moins une rĂ©union de spĂ©cialistes. Quelque personnes y sont attendues de mercredi Ă  vendredi, Ă  Monaco. La menace reste des plus sĂ©rieuses, d'autant que le problĂšme de la sĂ©curitĂ© informatique a longtemps Ă©tĂ© nĂ©gligĂ©. L'Etat a identifiĂ© plus de 200 opĂ©rateurs d'importance vitale OIV, privĂ©s et publics, "qui exploitent ou utilisent des installations jugĂ©es indispensables pour la survie de la Nation". La loi de prĂ©paration militaire les oblige dĂ©sormais Ă  suivre toute une sĂ©rie de rĂšgles trĂšs strictes pour faire face Ă  la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. - Rendre les attaques publiques - Et pour les autres ? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. "Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV", raconte Guillaume Poupard. "Et bien, la mĂȘme chose!" Les entreprises devront de toute façon rĂ©agir parce qu'une directive europĂ©enne va les obliger en 2018 Ă  rendre public tout vol de donnĂ©es personnelles. Or, jusqu'Ă  prĂ©sent, la plupart d'entre elles prĂ©fĂšrent garder secrĂštes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux rĂ©agir face aux pirates. "On va voir le vrai visage de la sĂ©curitĂ© des sociĂ©tĂ©s françaises, et ça va faire peur", prĂ©dit JĂ©rĂŽme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e tout juste rachetĂ©e par Orange. Le plus souvent guidĂ©s par l'appĂąt du gain, mais aussi par des motivations idĂ©ologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du systĂšme des entreprises, gĂ©nĂ©ralement en passant par les ordinateurs de certains employĂ©s. Et pour approcher lesdits employĂ©s, on leur fait ouvrir des piĂšces jointes par mail, on les envoie cliquer sur des pages web vĂ©rolĂ©es ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquĂ©e - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrĂŽle de ses Ă©quipements. Quitte Ă  reprĂ©senter un vĂ©ritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dĂ©railler un train, prendre le contrĂŽle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver Ă  de telles extrĂ©mitĂ©s, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et lĂ , ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces "ransomwares", et qui ne peuvent espĂ©rer rĂ©cupĂ©rer leurs donnĂ©es qu'en payant une rançon. La sĂ©curitĂ© globale des Français est l’affaire de tous » FigaroVox. FIGAROVOX/TRIBUNE - Pour Alain Juillet, la menace terroriste nĂ©cessite une prise en charge globale et extensive de la sĂ©curitĂ© nationale. Selon lui, faire appel Ă  des agents de sĂ©curitĂ© privĂ©e peut ĂȘtre une solution, Ă  condition de leur offrir une formation suffisamment solide.
Les spĂ©cialistes de la cybercriminalitĂ© se rĂ©unissent cette semaine Ă  Monaco avec pour ambition d'Ă©tendre Ă  l'ensemble de la population les comportements et rĂ©flexes qui permettront de mieux rĂ©sister Ă  des pirates informatiques de plus en plus audacieux. Mis Ă  jour le 3 oct. 2016 Se protĂ©ger, ça passe par des rĂšgles», explique Ă  l'AFP le directeur gĂ©nĂ©ral de l'Agence nationale de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. Il y a des rĂšgles de conception des systĂšmes, des rĂšgles d'administration de ces systĂšmes, des rĂšgles de gouvernance, des rĂšgles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces rĂšgles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sĂ©curitĂ© Ă  100%, mais il n'y a plus grand-chose qui passe», estime-t-il. Le propos peut paraĂźtre bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent Ă  se promener dans des systĂšmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, dĂ©tournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. Au sein des entreprises, il y a Ă©videmment un responsable de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idĂ©e, c'est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersĂ©curitĂ© le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun a un rĂŽle Ă  jouer», souligne-t-il. Y compris l'intĂ©rimaire, gĂ©nĂ©ralement oubliĂ© dans les procĂ©dures, alors qu'il a souvent accĂšs aux systĂšmes. Pas Ă©tonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sĂ©curitĂ© et des systĂšmes d'information soient de moins en moins une rĂ©union de spĂ©cialistes. Quelque 2500 personnes y sont attendues de mercredi Ă  vendredi, Ă  Monaco. La menace reste des plus sĂ©rieuses, d'autant que le problĂšme de la sĂ©curitĂ© informatique a longtemps Ă©tĂ© nĂ©gligĂ©. L'État a identifiĂ© plus de 200 opĂ©rateurs d'importance vitale OIV, privĂ©s et publics, qui exploitent ou utilisent des installations jugĂ©es indispensables pour la survie de la Nation». La loi de prĂ©paration militaire les oblige dĂ©sormais Ă  suivre toute une sĂ©rie de rĂšgles trĂšs strictes pour faire face Ă  la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. Rendre les attaques publiques Et pour les autres? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV», raconte Guillaume Poupard. Et bien, la mĂȘme chose!» Les entreprises devront de toute façon rĂ©agir parce qu'une directive europĂ©enne va les obliger en 2018 Ă  rendre public tout vol de donnĂ©es personnelles. Or, jusqu'Ă  prĂ©sent, la plupart d'entre elles prĂ©fĂšrent garder secrĂštes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux rĂ©agir face aux pirates. On va voir le vrai visage de la sĂ©curitĂ© des sociĂ©tĂ©s françaises, et ça va faire peur», prĂ©dit JĂ©rĂŽme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e tout juste rachetĂ©e par Orange. Le plus souvent guidĂ©s par l'appĂąt du gain, mais aussi par des motivations idĂ©ologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du systĂšme des entreprises, gĂ©nĂ©ralement en passant par les ordinateurs de certains employĂ©s. Et pour approcher lesdits employĂ©s, on leur fait ouvrir des piĂšces jointes par courriel, on les envoie cliquer sur des pages web vĂ©rolĂ©es ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquĂ©e - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrĂŽle de ses Ă©quipements. Quitte Ă  reprĂ©senter un vĂ©ritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dĂ©railler un train, prendre le contrĂŽle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver Ă  de telles extrĂ©mitĂ©s, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et lĂ , ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces ransomwares», et qui ne peuvent espĂ©rer rĂ©cupĂ©rer leurs donnĂ©es qu'en payant une rançon.
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  • la sĂ©curitĂ© est l affaire de tous